Ce n’est pas parce qu’ils crient qu’il faut les écouter!

 

Nous voyons ici les conséquences du témoignage de deux femmes.  Lydie, marchande qui sert Dieu et une femme avec un esprit de Python qui sert le père du mensonge (Jean 8.44).  Les deux sont insistantes.  La première en demandant le conseil des apôtres et la possibilité de servir.  La deuxième en forçant sa voie sur le passage des apôtres.  Même si cette dernière dit la vérité, les apôtres ne lui permettent pas de continuer.  Que serait et comment serait perçu la vérité si elle serait présentée par un esprit menteur ?  Mais la conséquence de protégé l’intégrité de la vérité, aura pour conséquence pour Paul – encore la prison !

Nous entendons, de nos jours, beaucoup de vérités, demi vérités et semblant de vérités.  Certaines paressent intéressantes et parfois nous font douter de la Parole de Dieu.  Certains scientifiques, ou autres hommes qui ont de l’expertise dans leur milieu, s’aventure dans un domaine qui n’appartient qu’à ceux que Dieu a choisi.

Ici, j’entends certains qui vont me dire que j’exagère, car la science est là pour nous dire la vérité et ramener sur le droit chemin les croyances de certains religieux!    Ma réponse:  N’oublions pas que c’est aussi la science et le darwinisme qui ont évalué, au début du dernier siècle que la race noir était sous-évolué face à la race blanche!  Une chance que des croyants tel que William Wilberforce ont combattus la « croyance » de la science.  D’autres diront que ça n’arriverait plus aujourd’hui!  Ma réponse:  N’en soyez pas certains, car il n’y a jamais eu autant de fraude et copies dans le domaine de la recherche que dans la période actuelle.  Le problème n’est pas seulement la science versus la religion, mais le coeur de l’homme qui est prêt à croire n’importe qui et n’importe quoi!  Oui certaines croyances sont néfaste mais il y en a autant dans la « science » que dans la religion.  La Bible nous dit d’ailleurs ceci:  « Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. » Matthieu 10.16b  Fin de la parenthèse.

Es-tu parfois trompé de cette façon ?  Comment peux-tu te protéger de supercherie de la part du « père du mensonge » ?  Et attention, un menteur se sert souvent d’une vérité pour propager son mensonge.   » Un mensonge répété dix fois reste un mensonge; répété dix mille fois il devient une vérité. » (Adolf Hitler)

Seigneur, donnes-moi la sagesse pour discerner le mensonge de la vérité et le mensonge qui se mêle à la vérité!  Seulement toi, qui est la vérité, peux me donner cette sagesse!

Actes 16:14-24

L’une d’elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le coeur, pour qu’elle fût attentive à ce que disait Paul. Lorsqu’elle eut été baptisée, avec sa famille, elle nous fit cette demande: Si vous me jugez fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison, et demeurez-y. Et elle nous pressa par ses instances. Comme nous allions au lieu de prière, une servante qui avait un esprit de Python, et qui, en devinant, procurait un grand profit à ses maîtres, vint au-devant de nous, et se mit à nous suivre, Paul et nous. Elle criait: Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut, et ils vous annoncent la voie du salut. Elle fit cela pendant plusieurs jours. Paul fatigué se retourna, et dit à l’esprit: Je t’ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir d’elle. Et il sortit à l’heure même. Les maîtres de la servante, voyant disparaître l’espoir de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique devant les magistrats. Ils les présentèrent aux préteurs, en disant: Ces hommes troublent notre ville; (16:21) ce sont des Juifs, qui annoncent des coutumes qu’il ne nous est permis ni de recevoir ni de suivre, à nous qui sommes Romains. La foule se souleva aussi contre eux, et les préteurs, ayant fait arracher leurs vêtements, ordonnèrent qu’on les battît de verges. Après qu’on les eut chargés de coups, ils les jetèrent en prison, en recommandant au geôlier de les garder sûrement. Le geôlier, ayant reçu cet ordre, les jeta dans la prison intérieure, et leur mit les ceps aux pieds.