Divinement simple!

Plus simple que ça?…Ça n’existe pas.  C’est divinement simple.

Ce qui compte pour Dieu, ce n’est pas:

– ces sacrifices à ne plus finir!

– se sacrifier soi-même sur le bûcher du suicide pour Allah, ou qui que ces
soit!

– se sacrifier sur le bûcher du reniement au monde dans un monastère!

– se sacrifier sur le bûcher de la chasteté comme certains religieux!

– sacrifier les autres sur le bûcher de nos convictions!

1- Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme,
de toute ta pensée, et de toute ta force

et

2- tu aimeras ton prochain comme toi-même.

Donc, j’aime Dieu en premier, mon prochain en second… et moi là-dedans?  Ne t’en fais pas pour toi, tu t’aimes en
partant, ça fait partie de ton instinct de survie.

Les deux autres sont ceux à travailler. 
Et ne te crée pas une montagne que tu ne pourras jamais franchir.
Commence maintenant, où tu peux, où tu es, et tu vas voir que plus tu le feras
plus ce sera plaisant et facile.

Donc aujourd’hui, je commence par dire… bonjour à mon Dieu et bonjour à
mon prochain. Ça peut pas être plus facile que ça. Tout ce qu’il faut c’est que
ce soit des bonjours sincères!

On commence?

Et demain peut-être deux bonjours? Ou un bonjour et un merci? Vas-y avec
ton coeur et ton imagination.

Marc 12.28-44
28 Un des scribes, qui les avait entendus discuter, sachant que Jésus avait bien répondu aux sadducéens, s’approcha, et lui demanda: Quel est le premier de tous les commandements?
29 Jésus répondit: Voici le premier: Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l’unique Seigneur;
30 et: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.
31 Voici le second: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là.
32 Le scribe lui dit: Bien, maître; tu as dit avec vérité que Dieu est unique, et qu’il n’y en a point d’autre que lui,
33 et que l’aimer de tout son coeur, de toute sa pensée, de toute son âme et de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, c’est plus que tous les holocaustes et tous les sacrifices.
34 Jésus, voyant qu’il avait répondu avec intelligence, lui dit: Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. Et personne n’osa plus lui proposer des questions.
35 Jésus, continuant à enseigner dans le temple, dit: Comment les scribes disent-ils que le Christ est fils de David?
36 David lui-même, animé par l’Esprit Saint, a dit: Le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied.
37 David lui-même l’appelle Seigneur; comment donc est-il son fils? Et une grande foule l’écoutait avec plaisir.
38 Il leur disait dans son enseignement: Gardez-vous des scribes, qui aiment à se promener en robes longues, et à être salués dans les places publiques;
39 qui recherchent les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins;
40 qui dévorent les maisons des veuves, et qui font pour l’apparence de longues prières. Ils seront jugés plus sévèrement.
41 Jésus, s’étant assis vis-à-vis du tronc, regardait comment la foule y mettait de l’argent. Plusieurs riches mettaient beaucoup.
42 Il vint aussi une pauvre veuve, elle y mit deux petites pièces, faisant un quart de sou.
43 Alors Jésus, ayant appelé ses disciples, leur dit: Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu’aucun de ceux qui ont mis dans le tronc;
44 car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre.