Générations. Unir plutôt que diviser?


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Puis-je faire le premier pas pour me rapprocher?  Un « babyboomer » vers… un X, un Y, un Z…

Jésus est venu au milieu d’une génération, qu’il caractérise ici d’incrédule (ou « sans foi ») et de perverse (ou « détourné de Dieu »). Ils sont évalués en rapport avec leur relation avec Dieu et ils le démontrent dans leurs relations avec les autres.

En effet les disciples sont ici, « centrés sur eux-mêmes » (« lequel d’entre eux était le plus grand »vs 46) et sectaires (« nous l’en avons empêché, parce qu’il ne nous suit pas »vs 49). Ils ont embrassé les travers de leur génération.

Qu’est-ce que je pourrais dire de ma génération? Chaque génération à ses travers et ses faiblesses. Comment est-ce que je contribue au travers de ma génération?  Comment puis-je faire « le pont » entre générations plutôt que de contribuer à diviser les générations?

Arrêter de dire « ils ne sont pas des nôtres »?  Éliminer le racisme, « culturel-isme », « ethnolog-isme », « génération-isme », etc.

Bien sûr, j’invente des mots ou des utilisations de mots mais vous avez compris le principe. Comment me rapprocher des autres plutôt que de m’en séparer?  Et surtout des générations qui me suivent, comme ces petits enfants, que Jésus m’encourage à recevoir.

Jésus me donne l’exemple en s’approchant des hommes, même si eux s’éloignent de lui. Il a fait le premier pas.  Que je fasse les premiers pas!

Luc 9.37-50

Le lendemain, lorsqu’ils furent descendus de la montagne, une grande foule vint au-devant de Jésus. Et voici, du milieu de la foule un homme s’écria: Maître, je t’en prie, porte les regards sur mon fils, car c’est mon fils unique. Un esprit le saisit, et aussitôt il pousse des cris; et l’esprit l’agite avec violence, le fait écumer, et a de la peine à se retirer de lui, après l’avoir tout brisé. J’ai prié tes disciples de le chasser, et ils n’ont pas pu. Race incrédule et perverse, répondit Jésus, jusqu’à quand serai-je avec vous, et vous supporterai-je? Amène ici ton fils. Comme il approchait, le démon le jeta par terre, et l’agita avec violence. Mais Jésus menaça l’esprit impur, guérit l’enfant, et le rendit à son père. Et tous furent frappés de la grandeur de Dieu. Tandis que chacun était dans l’admiration de tout ce que faisait Jésus, il dit à ses disciples: Pour vous, écoutez bien ceci: Le Fils de l’homme doit être livré entre les mains des hommes. Mais les disciples ne comprenaient pas cette parole; elle était voilée pour eux, afin qu’ils n’en eussent pas le sens; et ils craignaient de l’interroger à ce sujet. Or, une pensée leur vint à l’esprit, savoir lequel d’entre eux était le plus grand. Jésus, voyant la pensée de leur coeur, prit un petit enfant, le plaça près de lui, et leur dit: Quiconque reçoit en mon nom ce petit enfant me reçoit moi-même; et quiconque me reçoit reçoit celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous tous, c’est celui-là qui est grand. Jean prit la parole, et dit: Maître, nous avons vu un homme qui chasse des démons en ton nom; et nous l’en avons empêché, parce qu’il ne nous suit pas. Ne l’en empêchez pas, lui répondit Jésus; car qui n’est pas contre vous est pour vous.

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