Il y a un temps pour parler et un autre pour agir.

Plusieurs aiment pointer aux mauvaises autorités, et parler des belles valeurs que le monde devrait avoir.  Je comprends la frustration de voir ce monde qui se détruit et blesse les autres, mais pourrait-on chercher un moyen d’aider, sans nuire. 

Qu’en est-il des gens qui souffrent et qui ont besoin d’aide ? Qu’est-ce que JE fais pour les aider ? Pas les autres… MOI !

 

Bien sûr que ces idées ne sont pas pour toi si ton intérêt n’est que TOI.  Continue ton chemin, car le présent chemin ne t’intéressera pas.

 

Cependant, si tu souffres de voir la difficulté de l’autre et voudrait agir, trouvons ensemble des moyens d’y arriver.

J’ai vu de gens dans le besoin, partout dans le monde.  Des gens qui ont les mains vides, le ventre vide, le cœur vide !  Mais j’ai aussi vu autant de personnes qui ont les mains pleines, le ventre plein et le cœur plein.

J’ai souvent dit que la richesse n’est pas une bénédiction, mais un test.  Un test de ma capacité à partager avec l’autre.  De réussir ou couler ce test, de cette règle d’égalité dont nous parle Paul :

« … une règle d’égalité: dans la circonstance présente

votre superflu pourvoira à leurs besoins, » 2 Corinthiens 8.13

 

            À la mesure de ce que tu as !

« La bonne volonté, quand elle existe, est agréable en raison de ce qu’elle peut avoir à sa disposition, et non de ce qu’elle n’a pas. » 2 Corinthiens 8.12

Mais nous avons tellement… et il y a toujours quelqu’un qui peut bénéficier de mon surplus, même quand je trouve que ce surplus est bien petit, même quand il n’est qu’un encouragement, un sourire, une prière.

Pour ceux qui désirent vraiment aider, j’ai quelque chose à vous proposer. Un projet nouveau, une méthode nouvelle que nous appellerons – UN POUR UN.

OK, vous avez raison… il n’y a rien de nouveau sous le soleil, et rien de nouveau à aider l’autre, mais nous avons tellement institutionnalisé l’aide que nous avons perdu la valeur de l’aide personnelle.  Nous parlerons ici d’UN qui aide UN.

Ce projet me tient à cœur depuis bien des années et nous avons été quelques-uns à y ont participé, et en bénéficier.  Oui, oui, en bénéficier, car quoi de plus encourageant que d’aider une personne. 

 

Anecdote :

Il y a quelques années, j’avais un ami qui se mourrait de la fièvre typhoïde, au Togo.  Le remède était devant lui, à la pharmacie, mais il n’avait pas l’argent.  Pour seulement, $120 j’ai pu sauver la vie d’un ami.  Il n’est pas un nom qui aurait paru aux nouvelles, mais un nom gravé sur mon cœur.  Et je ne peux vous exprimer la joie que j’ai eu d’avoir sauvé la vie d’une personne, qui plus est un ami !

 

Je peux vous dire que les paroles suivantes résonnent encore dans ma tête :  

« Je vous ai montré de toute manière que c’est en travaillant ainsi qu’il faut soutenir les faibles, et se rappeler les paroles du Seigneur, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. » Actes 20.35

Et parfois, je me dis :  Que serait-il arrivé si je n’avais pas agi, tout de suite.  Quelle serait ma tristesse maintenant ?

 

–       Un homme pour un homme.

–       Une femme pour une femme.

–       Un enfant pour un enfant.  Nos enfants même peuvent aider un autre enfant à survivre!

–       Un médecin pour un médecin.

–       Un travailleur pour un travailleur.

–       Une maman à la maison pour une maman à la maison.

Bien sûr qu’il y a des gens dans le besoin autour de vous, dans votre pays, et vous êtes encouragés à les aider, car ils sont vos voisins.  Mais je parle d’aider une personne vraiment pauvre, nous qui sommes vraiment riches !  En Afrique, en Asie, en Ukraine, etc.  Les besoins sont là.  Écoutons notre cœur. 

UN POUR UN.

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