J’ai des questions pour la sagesse!

La sagesse personnifiée!  Ici la sagesse nous parle comme si elle était une personne.  Et si elle était une personne?!  En passant, pour ceux qui veulent voir Jésus comme cette sagesse et voir dans ce texte Jésus qui parle… votre logique et étude du texte n’a aucun appui dans ce sens.  La sagesse a été créée par Dieu et le fait qu’elle soit vue ici comme une personne, nous montre le sérieux de la considération de cette sagesse.  Quelle soit une personne?  Je ne le sait pas!  (La chose en serait possible à Dieu)  Mais ce que je sais est que Dieu désire que je la considère, plus qu’un concept, une capacité, une qualité, etc… Il désire que je lui donne l’importance d’une personne qui chuchote à mon oreille des conseils qui ne seront que bénédiction pour moi.  Cette sagesse était auprès de Dieu lorsqu’il a créé l’univers.  Elle était une création de Dieu, comme un outil qu’il a créé pour façonner l’univers!  Et un outils qui n’agit pas sans l’autorité ou la direction de Dieu.  Je devrais prendre cet exemple, de ne pas agir par moi-même, mais d’être un outil dans la main de Dieu.  Wow!  Pour cela je dois apprendre à connaître Dieu!

Je vais posé mes questions à la sagesse, pour qu’elle puisse m’enseigner… si c’est la volonté de Dieu!! 😉

 

(Sur la sagesse comme personne, j’émets une hypothèse sur mon blogue, dans la section « réflexions et citations ».  Mais seulement là, car ce n’est pas important pour notre réflexion sur le texte ce matin.  Je souhaite émettre cette hypothèse avec sagesse mais il ne serait pas sage d’associé la vérité que nous lisons ici à l’hypothèse que je présente moi-même.  Mais tu peux lire cette hypothèse… si tu as le temps, et si tu n’oublies pas que ce n’est qu’une hypothèse).

 

Proverbes 8:22-36

L’Éternel m’a créée la première de ses oeuvres, Avant ses oeuvres les plus anciennes. J’ai été établie depuis l’éternité, Dès le commencement, avant l’origine de la terre. Je fus enfantée quand il n’y avait point d’abîmes, Point de sources chargées d’eaux; Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantée; Il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde. Lorsqu’il disposa les cieux, j’étais là; Lorsqu’il traça un cercle à la surface de l’abîme, Lorsqu’il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l’abîme jaillirent avec force, Lorsqu’il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n’en franchissent pas les bords, Lorsqu’il posa les fondements de la terre, J’étais à l’oeuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence, Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l’homme. Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, Et heureux ceux qui observent mes voies! Écoutez l’instruction, pour devenir sages, Ne la rejetez pas. Heureux l’homme qui m’écoute, Qui veille chaque jour à mes portes, Et qui en garde les poteaux! Car celui qui me trouve a trouvé la vie, Et il obtient la faveur de l’Éternel. Mais celui qui pèche contre moi nuit à son âme; Tous ceux qui me haïssent aiment la mort.