Je ne peux que dire merci!

Quel incroyable sagesse et réconfort dans ses paroles.  « du fait qu’il a souffert lui-même et qu’il a été tenté, il peut secourir ceux qui sont tentés. »
J’ai besoin de savoir que mon Dieu a été tenté et a résisté, moi qui est tenté et succombe.

J’ai besoin de savoir, bien sûr, qu’il peut me comprendre et m’aider, mais bien plus que cela, qu’il a fait l’impossible.

J’avais besoin qu’il soit homme pour qu’il me montre à vivre et qu’il soit Dieu pour qu’il me délivre de la mort.

Pour Dieu d’être soumis de cette façon est insensé mais il était essentiel qu’il le fasse pour mon salut!
Merci mon Dieu, d’être né homme pour m’amener comme frère dans la vie, et d’être mort homme pour anéantir celui qui m’amenait dans la mort.

Hébreux 2.10-18

Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, élevât à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut. Car celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous issus d’un seul. C’est pourquoi il n’a pas honte de les appeler frères, lorsqu’il dit: J’annoncerai ton nom à mes frères, Je te célébrerai au milieu de l’assemblée. Et encore: Je me confierai en toi. Et encore: Me voici, moi et les enfants que Dieu m’a donnés. Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c’est-à-dire le diable, et qu’il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude. Car assurément ce n’est pas à des anges qu’il vient en aide, mais c’est à la postérité d’Abraham. En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu’il fût un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu, pour faire l’expiation des péchés du peuple; car, ayant été tenté lui-même dans ce qu’il a souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés.