La prévention est le plus efficace des remèdes!

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Vous m’avez entendu « cracher ma suce » hier, en rapport à l’abus de pouvoir de la connaissance.   Mais, comme je l’ai dit :  tout abus de pouvoir me répugne et je m’y suis souvent opposé, avec les conséquences qui en ont suivi.   Nous en reparlerons une autre fois.  

Avec la connaissance vient une responsabilité de la transmettre correctement et surtout d’agir en fonction de cette connaissance.  Plus j’ai de savoir, plus je suis responsable de ce que j’en fais.  Il est donc important pour tous ces « connaissants » de chercher à savoir aussi d’où vient ce virus.  L’avons-nous créé?  Car si c’est le cas, il faudrait apprendre à ne pas recommencer!

Il y est important de trouver un remède mais encore bien plus important de prévenir une autre maladie.  En réalité, la prévention est le plus efficace des remèdes!  Mais c’est tellement difficile à faire.  Pourquoi se restreindre quand on ne voit pas d’urgence? On va prendre un exemple plus personnel.

Avez-vous déjà vécu le choc d’une maladie majeur qui met en danger votre vie.  Je prendrai comme exemple une crise cardiaque.  Regardons ce qui se passe généralement, si on y survit :

• Un problème survient, une alarme, une douleur, une angine.
• Réaction? Ce n’est rien!  Indigestion ou autre raison simple.  J’en ris mais certains voit un risque.
• La situation empire, il faut agir. Voir le médecin, l’urgence.
• La pression monte, mais on tente de se calmer.
• Le médecin fait ses tests, son évaluation. Mauvaise nouvelle.  C’est la crise.
• Le diagnostic est très mauvais. Il faut une opération majeure sinon c’est la fin… la mort!
• Par la suite, c’est l’arrêt complet. Je n’ai pas le choix de l’accepter.  Hier tout allait bien, aujourd’hui je survis difficilement. 
• Je suis dépendant de tous. Je dois arrêter de travailler!  Qu’est-ce qui va se passer?
• Mes options : Je suis les ordres du médecin et je limite mes actions.
• Les limitations, la diète et les médicaments me donnent espoir.
• Ça va de mieux en mieux. Les médicaments sont efficaces.
• Mes craintes disparaissent. Je reviens à la vie normale.
• Ça va tellement bien que je peux oublier ou arrêter les diètes et restrictions.
• Je commence à me demander si le médecin n’a pas exagéré. Il ne faut pas suivre toutes ces restrictions sinon, ça sert à quoi de vivre?
• Je vis comme avant. J’ai oublié que j’avais un problème de cœur et je suis encore plus irresponsable qu’avant car j’ai eu un avertissement et je n’en tiens pas compte. J’attends la prochaine crise… qui viendra… c’est certain!

Avez-vous vu le lien avec ce que nous venons de passer, cette crise de covid-19 :

• Crise
• Dénie et même en rire.
• Évaluation très négative
• Arrêt complet et drastique.
• Impuissance et soumission à la science.
• Ça va mieux tranquillement, tellement qu’on questionne la nécessité des démarches (on enlève les règles et parle de théorie du complot).
• On trouvera remèdes et vaccins
• Ça ira mieux et nous trouverons une autre façon de vivre mieux.
• Nous n’aurons plus de soucis de covid-19.
• Nous oublierons que nous devons agir pour ne pas retrouver un autre problème grave.

Vous avez vu la ressemblance dans nos comportements? 

Pourquoi sommes-nous comme cela? 

Pourquoi ne pas faire un peu de prévention afin de se garder en santé? 

Prendre soin de ce corps que nous n’avons que pour un temps assez court? 

Eh voilà, il est temps de regarder à ma santé.  Comment j’en prends soin ou je la détruis? C’était facile et presque plaisant de critiquer le gouvernement mais qu’en est-il de ma responsabilité, face à ma santé!  Obésité, malbouffe, stress, manque de sommeil, pas d’exercice, abus de tout genre.  Nous mettons de côté tous les éléments de prévention de la santé.  Ce n’est pourtant pas compliqué la santé.   Elle se résume à plusieurs choses mais pas très compliquées :

• Bien se nourrir
• Bien se reposer
• Faire de l’exercice pour :
  • Cœur (cardio-vasculaire)
  • Tonus musculaire (Musculation)
  • Articulations (Assouplissement)

Voulez-vous que l’on en parle?  Avez-vous des questions?  Par quoi on commence?  Mais peut-être que vous préférez ne pas en entendre parler.  Après tout l’ignorance et l’insouciance sont beaucoup plus faciles à vivre… jusqu’à ce qu’arrive la prochaine crise… cardiaque, ou autre!?

S’il vous plait!  Agissez, car je vous aime et j’aimerais vous garder le plus longtemps possible.  Vos enfants et petits-enfants aussi!

Encore une fois : Voulez-vous que l’on en parle?  Avez-vous des questions?  Par quoi commence-t-on?  Une discussion devant un café?  Mimi et moi on vous invite!

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