Le plaisir de Dieu!

Paul nous dis qu’il ne veut rechercher la faveur des hommes!  Paul nous décrit la justification de ses actions, des changements dans sa vie et de son enseignement… la faveur de Dieu envers Lui!

Et là est toute la différence.  En réalité, il ne parle pas non-plus de faire plaire à Dieu (ce qu’il tentera quand même de faire dans sa vie) mais que Dieu s’est fait plaisir en lui!  « Mais, lorsqu’il plut à celui qui m’avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m’a appelé par sa grâce » vs15

Encore dernièrement, je voyais des hommes qui disent vouloir faire plaisir à Dieu en faisant ou disant certaines choses, mais souvent en blessant les autres.  En réalité ils se font plaisir à eux-même.   Quand c’est Dieu qui fait le travail, quand Dieu se fait plaisir en l’homme, c’est là qu’on reconnaît la vérité des actions, des changements, des enseignements… cette action ne blesse pas mais guérit.

C’est d’ailleurs ce que les religions ne peuvent comprendre, alors qu’elles veulent être l’instrument de jugement de Dieu!  Dieu n’a pas besoin de l’homme pour exercer son jugement… Il sera bien capable de le faire Lui-même!  Et d’ailleurs, quand l’homme essaie de le faire pour Dieu, il gaffe toujours.  Dieu se sert plutôt de l’homme pour accomplir Sa Grâce et c’est aussi ce qu’il a voulu faire avec Israël, mais ils n’ont pas compris.

Dans la religion l’homme veut ou dit vouloir faire plaisir à Dieu, par la foi Dieu se fait plaisir en l’homme.

Seigneur fais-toi plaisir en moi.  Que je sois un instrument de ta grâce.

Galates 1.10-17 –  Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ. ¹¹ Je vous déclare, frères, que l’Evangile qui a été annoncé par moi n’est pas de l’homme; ¹² car je ne l’ai ni reçu ni appris d’un homme, mais par une révélation de Jésus-Christ. ¹³ Vous avez su, en effet, quelle était autrefois ma conduite dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance et ravageais l’Eglise de Dieu, ¹⁴ et comment j’étais plus avancé dans le judaïsme que beaucoup de ceux de mon âge et de ma nation, étant animé d’un zèle excessif pour les traditions de mes pères. ¹⁵ Mais, lorsqu’il plut à celui qui m’avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m’a appelé par sa grâce, ¹⁶ de révéler en moi son Fils, afin que je l’annonce parmi les païens, aussitôt, je ne consultai ni la chair ni le sang, ¹⁷ et je ne montai point à Jérusalem vers ceux qui furent apôtres avant moi, mais je partis pour l’Arabie. Puis je revins encore à Damas.