L’humanité et non l’hommanité!

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Et voilà, la fin d’une belle histoire, le livre d’Esther!  Une belle histoire qui finit bien, avec une fête pour se rappeler ce moment heureux, et qui est encore célébré parmi les juifs, de nos jours (25 février en 2021).  Une fête pour célébrer la délivrance de l’extermination des juifs durant la déportation, même s’il les juifs restaient dispersés en Perse, et sous l’autorité du roi Assuérus.

De la même façon, le croyant a été délivré de la conséquence du péché, même s’il reste habitant d’un monde qui ne lui est pas favorable, et ce, jusqu’au retour de son Roi en gloire.  Chaque jour est une occasion de célébrer la délivrance, passée et à venir.  Et je souhaite pour chacun cette délivrance du cœur et de l’âme!  Merci mon Dieu pour ta délivrance !!  

Résumons donc ce livre d’Esther. 

  • C’est une des plus belles histoires de la Bible, et Esther fut un des plus beaux modèles à suivre de la Bible.
  • La beauté physique d’Esther était ce que regardait le roi Assuérus, mais la grandeur d’âme d’Esther est ce qui plaisait à Dieu.
  • Encore une fois, Dieu ne regarde pas comme l’homme regarde. Lui regarde au cœur. (1 Samuel 16.7) 
  • L’amertume de l’homme, allait apporter des conséquences horribles, mais l’amour, la compassion et la foi d’une femme, à délivrer un peuple.
  • Une fête est donnée aux juifs mais je pourrais aussi trouver un moyen de me souvenir que Dieu ne m’oublie jamais.

Seigneur, touche mon cœur pour que je n’oublie pas les autres, spécialement ceux qui sont délaissés, ceux qui se sentent en exil, quand même ils seraient au milieu de leur peuple!

Mais personnellement, ce livre m’a rappelé de ne pas oublier ces femmes qui sont bien plus fortes que l’homme, mais que l’homme ne respecte pas et ne protège pas comme il le devrait.  C’est femmes dans ma vie bien sûr, qui ont laissé une marque et nourri les bons côtés de Serge.  Maman, épouse, filles, sœurs et amies.

Nous savons tous que l’humanité est composée d’hommes et de femmes, mais nous, les hommes, agissons comme si c’était l’hommanité et non l’humanité.  Il est temps que ça cesse!  Bien sûr que je ne pourrais pas changer cette hommanité mais je peux rappeler, par mes expériences de vie et mes études de la Bible, comment Dieu a désiré que cette humanité soit vécue ensemble, homme et femme, dans la joie, la paix et l’espoir.  J’y travaillerai donc pour le reste de ma vie, avec d’autres tâches bien sûr, mais pas sans l’aide de ces femmes qui m’entourent et sans qui je ne serais pas là et plus là.  Et attention!  La vie est peut-être un marathon mais même à la fin d’un marathon, il y a un sprint! 😉

Esther 9.18-10.3

Ceux qui se trouvaient à Suse, s’étant rassemblés le treizième jour et le quatorzième jour, se reposèrent le quinzième, et ils en firent un jour de festin et de joie. C’est pourquoi les Juifs de la campagne, qui habitent des villes sans murailles, font du quatorzième jour du mois d’Adar un jour de joie, de festin et de fête, où l’on s’envoie des portions les uns aux autres. Mardochée écrivit ces choses, et il envoya des lettres à tous les Juifs qui étaient dans toutes les provinces du roi Assuérus, auprès et au loin. Il leur prescrivait de célébrer chaque année le quatorzième jour et le quinzième jour du mois d’Adar comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et leur désolation en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l’on s’envoie des portions les uns aux autres et où l’on distribue des dons aux indigents. Les Juifs s’engagèrent à faire ce qu’ils avaient déjà commencé et ce que Mardochée leur écrivit. Car Haman, fils d’Hammedatha, l’Agaguite, ennemi de tous les Juifs, avait formé le projet de les faire périr, et il avait jeté le pur, c’est-à-dire le sort, afin de les tuer et de les détruire; mais Esther s’étant présentée devant le roi, le roi ordonna par écrit de faire retomber sur la tête d’Haman le méchant projet qu’il avait formé contre les Juifs, et de le pendre au bois, lui et ses fils. C’est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom de pur. D’après tout le contenu de cette lettre, d’après ce qu’ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé, les Juifs prirent pour eux, pour leur postérité, et pour tous ceux qui s’attacheraient à eux, la résolution et l’engagement irrévocables de célébrer chaque année ces deux jours, selon le mode prescrit et au temps fixé. Ces jours devaient être rappelés et célébrés de génération en génération, dans chaque famille, dans chaque province et dans chaque ville; et ces jours de Purim ne devaient jamais être abolis au milieu des Juifs, ni le souvenir s’en effacer parmi leurs descendants. La reine Esther, fille d’Abichaïl, et le Juif Mardochée écrivirent d’une manière pressante une seconde fois pour confirmer la lettre sur les Purim.  On envoya des lettres à tous les Juifs, dans les cent vingt-sept provinces du roi Assuérus. Elles contenaient des paroles de paix et de fidélité, pour prescrire ces jours de Purim au temps fixé, comme le Juif Mardochée et la reine Esther les avaient établis pour eux, et comme ils les avaient établis pour eux-mêmes et pour leur postérité, à l’occasion de leur jeûne et de leurs cris. Ainsi l’ordre d’Esther confirma l’institution des Purim, et cela fut écrit dans le livre.

Chapitre 10

Le roi Assuérus imposa un tribut au pays et aux îles de la mer. Tous les faits concernant sa puissance et ses exploits, et les détails sur la grandeur à laquelle le roi éleva Mardochée, ne sont-ils pas écrits dans le livre des Chroniques des rois des Mèdes et des Perses? Car le Juif Mardochée était le premier après le roi Assuérus; considéré parmi les Juifs et aimé de la multitude de ses frères, il rechercha le bien de son peuple et parla pour le bonheur de toute sa race.

 

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