Moi stupide?!
Tout un avertissement car ce sujet de chute n’est pas qu’un petit défit. Retiens, gardes, observe… et tu vivras. Un défi car c’est une chute fatale qui guette ce fils. Il devra veiller sur ses yeux, ses doigts et son coeur. Adam et Ève ont eu la même tentation et ils n’ont pas réussis à résister, eux qui voyaient Dieu tous les matins! Ils ont regardés, ils ont touchés et ils ont pensés être plus forts!
Et s’ensuit les avertissements pour ce stupide qui s’en va vers sa perte. (Femme plutôt qu’homme! Plus loin si tu as le temps) Et sa stupidité l’amène à ne pas voir les signes qui l’attire de plus en plus loin. Avant F
« Il passait dans la rue, … il se dirigeait lentement … au milieu de la nuit et de l’obscurité … il fut abordé … et le séduisit à force de paroles, … comme le boeuf qui va à la boucherie, … » Tout ne commence pas avec la prostitué mais avec ce stupide qui, lui-même s’approche d’où il sait y avoir danger.
Maintenant, pour moi, pour toi? Où est le danger? Je ne le connaît que trop bien et il n’en tient qu’à moi de ne pas m’en approcher. Peut-être, de cet ordinateur qui présente ces sites pornographiques, de ce aller de magasin qui contient ces bouteilles d’alcool, ce jeu d’argent ou simplement internet qui me gardera captif pendant des heures, des jours, des années, jusqu’à ce que je me rende compte que j’ai perdu mon temps, ma vie! Seigneur aides-moi, aujourd’hui, à ne pas être ce stupide que je ne connais que trop bien!
Proverbes 7.1-18
Mon fils, retiens mes paroles, Et garde avec toi mes préceptes. Observe mes préceptes, et tu vivras; Garde mes enseignements comme la prunelle de tes yeux. Lie-les sur tes doigts, Écris-les sur la table de ton coeur. Dis à la sagesse: Tu es ma soeur! Et appelle l’intelligence ton amie, Pour qu’elles te préservent de la femme étrangère, De l’étrangère qui emploie des paroles doucereuses. J’étais à la fenêtre de ma maison, Et je regardais à travers mon treillis. J’aperçus parmi les stupides, Je remarquai parmi les jeunes gens un garçon dépourvu de sens. Il passait dans la rue, près de l’angle où se tenait une de ces étrangères, Et il se dirigeait lentement du côté de sa demeure: C’était au crépuscule, pendant la soirée, Au milieu de la nuit et de l’obscurité. Et voici, il fut abordé par une femme Ayant la mise d’une prostituée et la ruse dans le coeur. Elle était bruyante et rétive; Ses pieds ne restaient point dans sa maison; Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, Et près de tous les angles, elle était aux aguets. Elle le saisit et l’embrassa, Et d’un air effronté lui dit: Je devais un sacrifice d’actions de grâces, Aujourd’hui j’ai accompli mes voeux. C’est pourquoi je suis sortie au-devant de toi Pour te chercher, et je t’ai trouvé. J’ai orné mon lit de couvertures, De tapis de fil d’Égypte; J’ai parfumé ma couche De myrrhe, d’aloès et de cinnamome. Viens, enivrons-nous d’amour jusqu’au matin, Livrons-nous joyeusement à la volupté. Car mon mari n’est pas à la maison, Il est parti pour un voyage lointain; Il a pris avec lui le sac de l’argent, Il ne reviendra à la maison qu’à la nouvelle lune. Elle le séduisit à force de paroles, Elle l’entraîna par ses lèvres doucereuses. Il se mit tout à coup à la suivre, Comme le boeuf qui va à la boucherie, Comme un fou qu’on lie pour le châtier, Jusqu’à ce qu’une flèche lui perce le foie, Comme l’oiseau qui se précipite dans le filet, Sans savoir que c’est au prix de sa vie. Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, Et soyez attentifs aux paroles de ma bouche. Que ton coeur ne se détourne pas vers les voies d’une telle femme, Ne t’égare pas dans ses sentiers. Car elle a fait tomber beaucoup de victimes, Et ils sont nombreux, tous ceux qu’elle a tués. Sa maison, c’est le chemin du séjour des morts; Il descend vers les demeures de la mort.
Femme prostituée, c-a-d femme perverse, plutôt qu’homme.
J’entend certains s’offusquer au fait que ce soit une femme qui est la méchante ici. Eh oui, c’est une femme et on le reconnait par la façon qu’elle amène cet homme à se détruire, à détruire sa propre vie. Et c’est la triste situation de ce ces femmes, mais surtout parce qu’elle n’amène pas seulement cet homme à se détruire mais elles se détruisent elles-mêmes. A part quelques rares exceptions (et il y a toujours des gens vraiment détraqués sur cette terre) les femmes qui ont cette différence, que lorsqu’elle ne vont pas bien, elles se détruisent et souvent emmènent les autres dans leur destruction (même leurs enfants). Par contre l’homme qui ne vas pas bien « dans sa peau et dans sa tête » va chercher à détruire les autres. Il est facile d’observer cela dans l’expression de la criminalité dans notre société. Donc, il est normal, mais très triste, que l’on parle aujourd’hui ce cette femme qui amène ce fils à se détruire, alors qu’elle se détruit elle-même. Dans d’autres passage, il sera parlé de l’homme méchant, mais celui-là ne tente pas vers l’auto-destruction mais vers la destruction des autres par le vol, la corruption, le meurtre, etc…!