Obéir à Dieu ? La gloire pour plus tard, la joie pour maintenant ! Philippiens 2.12-18
Et voici la clé de notre service. Obéir, sans murmure ou hésitation, et dans la joie.
À l’exemple de notre Seigneur, nous devons obéir. Celui-ci qui obéit le fait avec crainte et tremblement, car il sait que sa propre volonté peut l’éloigner de la volonté de Dieu. La solution ? Obéir et ainsi Dieu pourra produire le vouloir et le faire. En d’autres mots, si je lui soumets ma volonté, il produira en moi une volonté qui est la sienne, avec son énergie pour l’accomplir.
Maintenant, comment obéir nous qui recherchons constamment notre volonté ? Sans murmure qui caractérise celui qui fait, mais ne veut pas laisser changer sa volonté. Dire : « je fais, mais je préfère ma volonté. » plutôt que « je fais et j’apprends ta volonté. » Et deuxièmement, sans hésitation qui nous parle de toujours remettre en question. Dire : « peut-être » plutôt que « oui ». Celui qui dit toujours… « et si l’on avait fait différemment ? ». Peux-tu réaliser que c’est à Dieu que tu parles, pas à un homme ? Ce n’est pas ta lumière que tu porteras, mais la sienne, qui est la parole de vie. Tu peux être ce flambeau !
Finalement, cette obéissance à sa volonté produira une joie même dans l’épreuve, comme Paul dans ses chaînes. Pas une réjouissance aux actions des hommes, mais à la volonté de Dieu. Paul ne se réjouit pas de ce que les hommes l’ait mis dans les chaînes, mais que la volonté de Dieu s’accomplisse même par ces chaînes.
Seigneur, aide-moi à obéir, sans murmures et à trouver ainsi la joie en vue de la gloire au jour de Christ.
Philippiens 2.12-18