Pas simplement la vie, mais l’existence ! Ésaïe 66.1-3
Un message très clair de la part de celui qui a tout créé et donné l’existence à toute chose !
Donner la vie est une chose et beaucoup d’hommes se vantent de le faire. Les parents qui conçoivent un enfant vont dire qu’ils ont donné la vie. Des chercheurs qui font une nouvelle découverte vont considérer qu’ils ont un contrôle sur la vie. Même « mère Nature » ou « le Big Bang » ont un jour apporté la vie dans ce monde. Donc, vous voulez vous approprier le pouvoir de la vie… à la limite, je pourrais comprendre.
Mais qui a donné « existence » aux parents, à « mère Nature », au scientifique, au « Big Bang », ou à tout ce qui existe ?
Le voici, l’Éternel. Celui qui a donné « existence ». On ne peut trouver plus fort que Lui ! Il chérit sa création !
Et plusieurs l’ont compris et font toute sorte de sacrifice pour tenter de lui être agréables. Mais quelle aberration de sacrifier une vie de celui à qui Dieu a donné la vie ! Enlever la vie que Dieu a donnée… pour faire plaisir à Dieu ? On ne peut pas descendre plus bas dans la stupidité et cela est l’œuvre des religions.
Un exemple tout bête : Qu’est-ce que chérit un scientifique ? Sa découverte ! Maintenant, je vais prendre cette découverte et la bruler, la détruire, pour faire plaisir à ce scientifique ? Stupide ? Il en est de même lorsque je sacrifie une vie pour satisfaire celui qui a donné cette vie. Je ne le satisfais pas, je l’insulte !
Mais comment attirer son attention, son regard, à ce créateur si bienveillant qu’il m’a donné la vie, l’existence ? Il nous le dit ici, écoutons :
« je porterai mes regards:
Sur celui qui souffre et qui a l’esprit abattu, sur celui qui craint ma parole. »
Le premier est en réalité celui qui est pauvre, humble. Celui qui se sait perdu sans l’Éternel.
Le deuxième est celui qui est à genoux et tremble, car il réalise qu’il est en présence de l’Éternel, son Père, son Créateur.
Et voilà ce que désire celui qui m’a donné la vie et l’existence. Que je m’approche de Lui aujourd’hui avec un cœur brisé et des genoux qui tremblent d’avoir causé un sacrifice… celui de Son Fils, Jésus.