Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi !  Lévitique 1

Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi !  Lévitique 1

Un sacrifice est un sacrifice !  Cela coûte quelque chose !  Certains le voient comme de la barbarie.  Mettre sa main sur la tête de l’animal pendant qu’il est tué !  Couper soi-même les morceaux, les laver pour les brûler sur l’autel.  Ce n’est pas une partie de plaisir et cela fait partie du sens de cet holocauste.  Il devient un vrai sacrifice pour moi, car difficile, et normalement devrait me faire penser au fait que cette mort, ce sacrifice, ce paiement a été nécessaire par ma faute.

Lorsque je ne suis plus touché par le sacrifice, lorsque je ne réalise plus le poids de mon péché, et le fait qu’un autre a dû payer pour moi … ou en est rendu mon cœur ?  

Beaucoup de juifs étaient à ce point de dureté du cœur.  Qu’en est-il de mon cœur, lorsqu’il fait face à mon péché, ma faute, mes faiblesses, mes sacrifices ?  Quand je ne réalise plus la laideur de la mort et qu’elle est devenue banale… reste-t-il de l’espoir pour moi ?

Lorsqu’un holocauste est banalisé… l’espoir est perdu !  Lorsque le sacrifice d’un autre ne me touche plus, même celui d’un animal… le prix de ce sacrifice a perdu sa valeur pour moi, et mon âme est à son point le plus sombre, car c’est là que la lumière ne peut plus y pénétrer.

Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi.