Sans hypocrisie et sans avarice!

On lie ici certains détails des « saintes convocations ».  Nous avons, dans ce texte, l’idée de donner, de sacrifier, ce que l’on a de mieux.  Pas les restants ou ce qui ne me sert plus, mais ce qui me coûte et que je donne consciemment avec tout mon coeur.  Quelque chose qui devrait faire la honte de certains religieux de nos jours.  Vous savez, ces personnes qui disent:  « Ah, je vais me débarrasser de cela, ou peut-être le vendre à rabais… ah non, mon coeur est convaincu de faire un sacrifice, je vais donc donner ce « restant que je ne veux plus » à l’église ou à un missionnaire! »  Mais ce genre de réflexion ne vient pas de vous et moi!! 😉

Dans ce texte, Dieu nous apporte des concepts qui peuvent nous aider à bien comprendre le poids mon sacrifice, ou encore de ne pas tenté d’exagérer mon sacrifice en le gonflant à la vue des autres, comme pour le cas du pain qui est fait avec du levain, ou de ne pas m’enivrer et perdre mes capacités et ternir mon coeur.

Autrement dis, donner régulièrement et consciemment ce que j’ai de mieux, sans hypocrisie et sans avarice.  Voilà un bon enseignement pour aujourd’hui!

Qu’est-ce que je peux sacrifier, sans hypocrisie et sans avarice?

Lévitique 23.4-14

Voici les fêtes de l’Éternel, les saintes convocations, que vous publierez à leurs temps fixés. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Éternel. Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l’honneur de l’Éternel; vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation: vous ne ferez aucune oeuvre servile. Vous offrirez à l’Éternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation: vous ne ferez aucune oeuvre servile. L’Éternel parla à Moïse, et dit: Parle aux enfants d’Israël et tu leur diras: Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne, et que vous y ferez la moisson, vous apporterez au sacrificateur une gerbe, prémices de votre moisson. Il agitera de côté et d’autre la gerbe devant l’Éternel, afin qu’elle soit agréée: le sacrificateur l’agitera de côté et d’autre, le lendemain du sabbat. Le jour où vous agiterez la gerbe, vous offrirez en holocauste à l’Éternel un agneau d’un an sans défaut; vous y joindrez une offrande de deux dixièmes de fleur de farine pétrie à l’huile, comme offrande consumée par le feu, d’une agréable odeur à l’Éternel; et vous ferez une libation d’un quart de hin de vin. Vous ne mangerez ni pain, ni épis rôtis ou broyés, jusqu’au jour même où vous apporterez l’offrande à votre Dieu. C’est une loi perpétuelle pour vos descendants, dans tous les lieux où vous habiterez.