Un héros pour un zéro!

Pierre, fait partie des zéros de la foi!  Non je n’ai pas fait d’erreur de liaison!! 😉  Il est bien un zéro de la foi.  Il a parlé « plus vite que son ombre » il y a quelques jours, disant qu’il était prêt à mourir pour Jésus, et maintenant il ne veut même pas dire qu’il le connaît!!

Et quand tu te rends compte que tu es un Zéro… tu t’en veux et tu pleures!  Renier son sauveur et renier son Dieu, devant tous!  Ce n’est pas ce qu’on peut appeler la foi!!

Mais c’est pour cela que Jésus est mort.  Pour sauver des personnes comme Pierre, des personnes comme moi.  Pas des super héros qui n’ont pas besoin d’être sauvé car ils sont leur propre dieu, mais de simples pécheurs qui sont capable de gaffer royalement!

Et c’est là la différence entre les religions et la foi.  Dans la religion, un dieu se cherche des héros pour le représenter, des personnes qui sont prêts à se sacrifier pour leur dieu.  Dans la foi, Dieu est le héros et se sacrifie pour ceux qui sont perdus, pour ceux qui sont des zéros.

Donc vous pensez que je suis un zéro?  Vous avez bien raison!  Mais c’est pas grave, j’ai foi en un vrai héros.  Jésus qui est mort pour moi… ça c’est un vrai héros.   Merci mon Dieu!

Marc 14.66-72

Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur. Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit: Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth. Il le nia, disant: Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit pour aller dans le vestibule. Et le coq chanta. La servante, l’ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents: Celui-ci est de ces gens-là. (14:69) Et il le nia de nouveau. (14:70) Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen. Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite: Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y réfléchissant, il pleurait.