Un NON à la haine, un NON par amour! Voici l’exemple d’une femme, Esther.
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Ce texte de la Bible (le livre d’Esther) est à contre-courant et ne vous fera probablement pas changer de direction, si vous ne l’avez pas déjà fait! De toute façon ce n’est pas en suivant la majorité que vous trouverez la liberté, mais en suivant la vérité.
Je vais tout de suite faire une parenthèse en l’honneur de Esther. Et puisque je crois qu’il n’y a pas de hasard dans la Bible mais uniquement des intentions Divines, je me dois d’ajouter, en l’honneur des femmes qu’Esther représente. Les hommes de ce texte étaient prêts à se détruire les uns les autres par méchanceté et haine. Une femme leur a montré l’exemple et a été prête à risquer sa vie par amour. Oui, une femme, esclave et de surcroit d’une autre race, ou autre nation si vous préférez, car à mon avis les races n’existent pas mais simplement un moyen des « hommes » pour s’élever et abaisser l’autre (plus sur ce sujet à la fin de ce texte). Esther a accompli ce que la Bible enseigne :
« Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3.28
Je suis persuadé qu’elle était une croyante et espérait en la venue d’un sauveur. Et je la verrai un jour au Paradis. Ce sera un honneur!
Nous avons vu, dans les derniers jours, que l’amertume produit la destruction pour les autres comme pour moi, et maintenant que l’amour profond produit « bonheur, joie, allégresse et gloire » vs17
Certains diront que la gloire des juifs, dans ce texte, a été trouvée par la destruction des autres. Ne peut-il y avoir de gloire, sans destruction? De bonheur, sans malheur? De paradis, sans enfer? Certains ont même dit que le bien et le mal doivent aller ensemble, et ne peuvent exister l’un sans l’autre. Le mal est aussi nécessaire que le bien. Certains appellent cela le principe du yin et du yang, ou d’autres concepts, à mon avis, aussi farfelus les uns que les autres, car ils ne font que justifier le mal (plus sur ce sujet à la fin de ce texte).
Faisons attention à nos raisonnements! Des fois il faut raisonner pour ne pas simplement résonner! Le premier venant du cerveau, le deuxième de la cloche.
Nous sommes tellement insensibles à tout ce qui est en dehors de notre petite personne que nous avons besoin du mal pour reconnaitre le bien, de la pauvreté pour apprécier la richesse. Et le fait de justifier les deux nous pousse à … accepter la pauvreté des autres … lorsque je suis riche, bien sûr! (un auteur québécois à d’ailleurs écrit un texte ironique et triste sur ce sujet, intitulé « les pauvres ») Et par la suite cette philosophie nous amène jusqu’à avoir du dédain pour le malheureux, lorsque je suis heureux… du dédain pour le malade, lorsque je suis en santé. (et je n’exagère pas car j’ai été témoin de la méchanceté de cette façon de penser). Et la religion n’est pas mieux car les religieux ont du dédain pour les non-croyants qui sont perdus… lorsque l’on est parmi les « sauvés » bien sûr!
NON, le bien n’a pas besoin du mal pour survivre. Au contraire, le mal doit être éliminé pour que le bien puisse survive. Ils ne sont pas liés par nécessité, mais uniquement par négligence. Lorsque je néglige de faire le bien, le mal se tient à la porte. Lorsque je ferme les yeux sur le mal, il m’envahit jusqu’à ne plus voir le bien.
Esther et sa famille étaient sauvées, mais Esther n’a pas fermé les yeux sur le mal, par amour pour son peuple!
Qui est mon peuple, mon ami, ma famille, qui ont besoin de ma protection, de mon soutien, de mon amour? J’oserais dire l’humanité entière! Et si tu n’es pas d’accord, peut être que tu dois revoir tes valeurs. Et si tu es chrétien, et que tu as ce genre d’attitude, tu as besoin de relire ce texte, mais pas seulement le lire, mais le mettre en pratique, comme Esther l’a fait :
« Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme;
car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3.28
Que je dise NON au mal aujourd’hui! Ça prend plus que du courage, ça prend de l’amour!
Esther 8
En ce même jour, le roi Assuérus donna à la reine Esther la maison d’Haman, l’ennemi des Juifs; et Mardochée parut devant le roi, car Esther avait fait connaître la parenté qui l’unissait à elle. Le roi ôta son anneau, qu’il avait repris à Haman, et le donna à Mardochée; Esther, de son côté, établit Mardochée sur la maison d’Haman. Puis Esther parla de nouveau en présence du roi. Elle se jeta à ses pieds, elle pleura, elle le supplia d’empêcher les effets de la méchanceté d’Haman, l’Agaguite, et la réussite de ses projets contre les Juifs. Le roi tendit le sceptre d’or à Esther, qui se releva et resta debout devant le roi. Elle dit alors: Si le roi le trouve bon et si j’ai trouvé grâce devant lui, si la chose paraît convenable au roi et si je suis agréable à ses yeux, qu’on écrive pour révoquer les lettres conçues par Haman, fils d’Hammedatha, l’Agaguite, et écrites par lui dans le but de faire périr les Juifs qui sont dans toutes les provinces du roi. Car comment pourrais-je voir le malheur qui atteindrait mon peuple, et comment pourrais-je voir la destruction de ma race? Le roi Assuérus dit à la reine Esther et au Juif Mardochée: Voici, j’ai donné à Esther la maison d’Haman, et il a été pendu au bois pour avoir étendu la main contre les Juifs. Écrivez donc en faveur des Juifs comme il vous plaira, au nom du roi, et scellez avec l’anneau du roi; car une lettre écrite au nom du roi et scellée avec l’anneau du roi ne peut être révoquée. Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l’on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l’Inde à l’Éthiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue. On écrivit au nom du roi Assuérus, et l’on scella avec l’anneau du roi. On envoya les lettres par des courriers ayant pour montures des chevaux et des mulets nés de juments. Par ces lettres, le roi donnait aux Juifs, en quelque ville qu’ils fussent, la permission de se rassembler et de défendre leur vie, de détruire, de tuer et de faire périr, avec leurs petits enfants et leurs femmes, tous ceux de chaque peuple et de chaque province qui prendraient les armes pour les attaquer, et de livrer leurs biens au pillage, et cela en un seul jour, dans toutes les provinces du roi Assuérus, le treizième du douzième mois, qui est le mois d’Adar. Ces lettres renfermaient une copie de l’édit qui devait être publié dans chaque province, et informaient tous les peuples que les Juifs se tiendraient prêts pour ce jour-là à se venger de leurs ennemis. Les courriers, montés sur des chevaux et des mulets, partirent aussitôt et en toute hâte, d’après l’ordre du roi. L’édit fut aussi publié dans Suse, la capitale. Mardochée sortit de chez le roi, avec un vêtement royal bleu et blanc, une grande couronne d’or, et un manteau de byssus et de pourpre. La ville de Suse poussait des cris et se réjouissait. Il n’y avait pour les Juifs que bonheur et joie, allégresse et gloire. Dans chaque province et dans chaque ville, partout où arrivaient l’ordre du roi et son édit, il y eut parmi les Juifs de la joie et de l’allégresse, des festins et des fêtes. Et beaucoup de gens d’entre les peuples du pays se firent Juifs, car la crainte des Juifs les avait saisis.
Ne pas confondre les « isme »! Certains divisent et d’autre unissent!
Il ne faut pas accepter les travers de l’homme en les associant à des lois de l’univers! Et encore là, nous comprenons si peu des lois de l’univers que nous inventons des théories pour essayer d’expliquer ce que nous ne comprenons pas encore.
Et je suis d’accord avec le fait d’essayé de comprendre cet univers, mais soyons honnête et admettons avec humilité notre peu de compréhension. C’est d’ailleurs ce qui fait un bon scientifique : Le désir de chercher pour trouver! Quand il pense avoir trouvé, il ne cherche plus, il n’est plus ouvert à de nouvelles théories. Nous le voyons, par certaines théories qui sont traitées comme des lois. Par exemple, la théorie du Bigbang est une théorie. Certains la considèrent comme une loi et il est impossible de la remettre en question. Et ces mêmes personnes, qui considèrent cette théorie comme « sacrée » vont se fâcher si elle est remise en question et deviennent finalement ces fanatiques religieux (la religion de la science) qu’ils critiquent si librement.
Bon, j’ai touché la science et je sais que les scientifiques n’aiment pas que les théologiens s’occupent de science. Premièrement j’étais scientifique avant d’être un théologien et je me considère encore un scientifique, autant qu’un théologien (même si certains aimeraient m’exclure des deux groupes!). Mais je dirais aussi que si vous ne voulez pas que les théologiens fassent de la science avec la théologie, n’essayé pas de faire de la théologie avec la science! Tu ne pourras prouver l’existence de Dieu mais il est aussi impossible qu’il n’existe pas (tes ordinateurs l’ont démontré…)! Toi qui te dis scientifique, soit au moins honnête et constant dans ta démarche et raisonnement. C’est ce que je veux dire par raisonner, plutôt que résonner!
Donc, lumière et ténèbres ne sont pas des opposés que vivent ensemble. Il n’y a pas de ténèbres lorsque parait la lumière. (C’est l’homme qui a trouvé un moyen de contenir la lumière, pour en transmettre une partie, comme avec un abat-jour.) Il ne faut pas les considérer comme les deux parties d’un tout. Par exemple, l’atome contient des protons et des électrons, et l’atome ne peut exister sans les deux car ils constituent l’atome. Mais il y a bien d’autres particules qui constituent l’atome et représentent ce tout. Et certains vont comparer ces « lumières et ténèbres » aux noir et blanc (d’ailleurs représenté dans le principe du yin et du yang). Mais il y a aussi beaucoup d’autres couleurs, et le noir et le blanc ne représente pas un tout. D’ailleurs, le noir n’existe pas vraiment comme couleur, c’est simplement l’absence de couleur, l’absorption de toute lumière!
Et comme les ténèbres sont l’absence de lumière, la méchanceté est l’absence d’amour, le mal est l’absence de bien. Donc revenant à mon principe du début. Ne pas confondre les comportements de l’homme et les lois de l’univers.
Prenons l’exemple du racisme. Parler de racisme c’est admettre qu’il y a des races. C’est endossé des théories qui font une distinction entre les hommes. Même que certains d’entre eux se donneront une image de tolérance en acceptant les noirs au même niveau que les blancs. Je dirais que cette pensée garde le problème de la séparation des hommes. Et ces gens restent satisfaits de la séparation du blanc et du noir. « Je suis prêt à l’aimer mais il n’est pas comme moi, même mon opposé, si on les compare aux blanc et noir du yin et yang! Et si nous gardons ce principe de séparation racial, un jour, un autre viendra ajouter la haine à ce principe.
Je dis au contraire que nous sommes tous égaux. Il n’y a pas de races mais simplement différentes variétés d’hommes, tous égales devant Dieu. Pas de races pures et race inférieures, mais de simples variétés et amalgames génétiques. D’ailleurs la science nous enseigne que plus une race est « pure », sans amalgame, plus elle est faible et comporte de risque de maladie et déviation génétique. Donc, encore une fois, tous égalent devant Dieu. Peut-être pas devant certains hommes mais cela est le problème des hommes depuis toujours. La méchanceté!
Revenons au « racisme »! La confusion vient souvent du fait que le « isme » peut faire référence à un moyen d’unir un groupe (communisme, capitalisme) ou d’exclure un groupe (racisme, sexisme). Quel genre de « isme » utilisez-vous en parlant d’humanisme? Normalement, cela se voudrait un « isme » qui uni, mais si je me fie à ceux qui considèrent Darwin comme un humaniste, j’opterais pour un « isme » qui sépare. Car Darwin était convaincu du principe des races et a essayé de prouver que les noirs, et d’autres « races » étaient non évolués et inférieurs. Son humanisme ne vaut pas mieux que le racisme. C’est un « isme » qui sépare et je n’en veux pas.
Dans cette période où on parle de racisme systémique, je dirais qu’il y a encore bien plus grave. Il y a les « humanistes systémiques ». Ceux qui n’aiment pas l’humanité et qui essaient de la diviser en race et de la détruire.
Je le répète :
Que je dise NON au mal aujourd’hui! Ça prend plus que du courage, ça prend de l’amour! Ici c’est une femme qui m’a montré l’exemple, Esther.
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