Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Ah que j’aime critiquer Hollande et Trump… ! ;-)

image_pdfimage_print

Plainte de David, un homme attaqué de toute part, mais surtout reconnaissance de la seule solution, la seule espérance.

Les conseils que donne David, les avertissements sont les mêmes pour moi aujourd’hui.  Le monde n’a pas changé avec l’évolution de l’homme en technologie.  Certains croit en cette technologie, mais elle ne fait que nous donner des outils pour ce que nous faisons le mieux le mal.  Vanité et mensonge!  Est-ce que j’exagère?  Est-ce que David exagère?  SÉRIEUX?!

Aujourd’hui, j’analyserai si je ne suis pas parmi ceux-là qui tentent de s’enrichir par la violence, par la rapine (action de s’emparer du bien d’autrui), car attacher mon coeur aux richesses c’est le laisser se dégrader.  Est-ce que je collerais ma langue sur quelque chose de pourri en espérant ne pas être malade?

Aujourd’hui, j’analyserai mes actions, mes pensées car lorsque j’utilise un toute petit peu de violence (un mot méchant, un merci en moins), un tout petit peu de vol (retient un pourboire, copie sans autorisation), je suis aussi coupable que celui qui fait beaucoup, car mon peu, encourage ceux qui font beaucoup et mon peu accumulé devient beaucoup.

Peut-être que ce que je n’aime pas chez Donald Trump ou François Hollande, c’est que je suis un peu comme eux.  Des fois un peu trop intransigeant, des fois un peu trop mou, et finalement ceux qui sont comme moi qui créent et élisent ceux-là!  Pas moi bien sûr… moi je suis bon!

Triste, défaitiste, ce matin?!  Non, je ne finirai pas sur cette note car Dieu est fort, bon, et juste.  Là est mon espoir.  Pas dans les richesses, pas en moi!

« C’est que la force est à Dieu. A toi aussi, Seigneur! la bonté; Car tu rends à chacun selon ses oeuvres. »

Psaumes 62:1-12

(62:1) Au chef des chantres. D’après Jeduthun. Psaume de David. (62:2) Oui, c’est en Dieu que mon âme se confie; De lui vient mon salut. (62:3) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai guère. (62:4) Jusqu’à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l’abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu’on renverse? (62:5) Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé; Ils prennent plaisir au mensonge; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur coeur. -Pause.

(62:6) Oui, mon âme, confie-toi en Dieu! Car de lui vient mon espérance. (62:7) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai pas. (62:8) Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire; Le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu. (62:9) En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Répandez vos coeurs en sa présence! Dieu est notre refuge, -Pause.

(62:10) Oui, vanité, les fils de l’homme! Mensonge, les fils de l’homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu’un souffle. (62:11) Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine; Quand les richesses s’accroissent, N’y attachez pas votre coeur. (62:12) Dieu a parlé une fois; Deux fois j’ai entendu ceci: C’est que la force est à Dieu. (62:13) A toi aussi, Seigneur! la bonté; Car tu rends à chacun selon ses oeuvres.

Partager
Partager