Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

C’est pas toujours beau l’histoire… mon histoire?!

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Une triste histoire de la Bible, mais qui me démontre la grâce de Dieu, qui accepte des hommes et femmes si mauvais, et la profondeur de ce texte qu’est la Bible.
Ici, l’histoire d’un père qui favorise son ainé et d’une mère qui fera tout pour favoriser le cadet. Un père insensible et une mère manipulatrice. Triste histoire!

Mais ceci me démontre la grâce de Dieu car il accepte des hommes imparfaits! Bonne chose pour moi car je ne suis pas tout à fait parfait!! 😉

Et aussi profondeur de la Bible, car contrairement aux autres textes historiques, on nous parle des histoires laides de la création d’une nation, d’un peuple. Les souverains et rois ont fait écrire les histoires de leur nation en essayant de ne mentionner que les bons coups et en « oubliant » les mauvais. Ils ont même souvent détruit les écrits avant eux pour ne valoriser que leur histoire. C’est pour cette raison que nous avons si peux sur l’histoire. C’est ce dont est capable l’orgueil des hommes.  Bien sûr nous avons quelques écrits qui sont restés mais si peu en comparaison de tout ce qui a été écrit dans l’histoire.

Mais Dieu a décidé de raconter l’histoire telle qu’elle est. Ce texte est unique dans ce sens! Il n’a pas embelli l’histoire, il n’a pas masqué la laideur de l’homme. Il l’a simplement présenté tel qu’il est, et Il lui a offert le salut.  Ce texte n’est pas là pour vanter les attributs de la belle et bonne créature qu’est l’homme (je suis ironique!!), mais pour lui rappeler sa nature et lui offrir le salut.

Jacob, « le manipulateur » à besoin de salut… moi aussi. Je ne raconterai pas mon histoire car… j’en aurais probablement honte si on la mettait au grand jour comme on le fait ici avec Jacob. Mais comme Jacob elle finit bien car j’ai aussi trouvé le salut.
Que je ne cherche pas à cacher mes erreurs mais que j’apprenne de celles-ci!

Genèse 27.1-17
1 Isaac devenait vieux, et ses yeux s’étaient affaiblis au point qu’il ne voyait plus. Alors il appela Ésaü, son fils aîné, et lui dit: Mon fils! Et il lui répondit: Me voici! 2 Isaac dit: Voici donc, je suis vieux, je ne connais pas le jour de ma mort. 3 Maintenant donc, je te prie, prends tes armes, ton carquois et ton arc, va dans les champs, et chasse-moi du gibier. 4 Fais-moi un mets comme j’aime, et apporte-le-moi à manger, afin que mon âme te bénisse avant que je meure. 5 Rebecca écouta ce qu’Isaac disait à Ésaü, son fils. Et Ésaü s’en alla dans les champs, pour chasser du gibier et pour le rapporter. 6 Puis Rebecca dit à Jacob, son fils: Voici, j’ai entendu ton père qui parlait ainsi à Ésaü, ton frère: 7 Apporte-moi du gibier et fais-moi un mets que je mangerai; et je te bénirai devant l’Éternel avant ma mort. 8 Maintenant, mon fils, écoute ma voix à l’égard de ce que je te commande. 9 Va me prendre au troupeau deux bons chevreaux; j’en ferai pour ton père un mets comme il aime; 10 et tu le porteras à manger à ton père, afin qu’il te bénisse avant sa mort. 11 Jacob répondit à sa mère: Voici, Ésaü, mon frère, est velu, et je n’ai point de poil. 12 Peut-être mon père me touchera-t-il, et je passerai à ses yeux pour un menteur, et je ferai venir sur moi la malédiction, et non la bénédiction. 13 Sa mère lui dit: Que cette malédiction, mon fils, retombe sur moi! Écoute seulement ma voix, et va me les prendre. 14 Jacob alla les prendre, et les apporta à sa mère, qui fit un mets comme son père aimait. 15 Ensuite, Rebecca prit les vêtements d’Ésaü, son fils aîné, les plus beaux qui se trouvaient à la maison, et elle les fit mettre à Jacob, son fils cadet. 16 Elle couvrit ses mains de la peau des chevreaux, et son cou qui était sans poil. 17 Et elle plaça dans la main de Jacob, son fils, le mets et le pain qu’elle avait préparés.

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