«Écris: ‘Heureux les morts qui meurent dans le Seigneur, et ce dès maintenant! … »
Peu importe les circonstances Dieu est toujours en contrôle. Rien n’est à craindre. Mon salut éternel est pour… l’éternité, bien évidemment!
Je me reposerai de mes oeuvres… tout cela est réconfortant et Dieu, dans sa bonté, me pardonne et me rassure à tout moment. Mais que comprendre de « leurs oeuvres les suivent. »?!
Il ne faut pas prendre Dieu à la légère. Sa bonté est infinie mais aussi sa justice. Mes oeuvres, bonnes ou mauvaises laisseront une trace qui me suivra?! Pas comme ces programmes d’ordinateurs qui promettent de faire ce que tu veux sur l’internet sans que personne ne le sache. Qui promettent d’effacer toutes les traces de mon passage, toutes mes oeuvres que je ne veux pas que l’onconnaisse! Cela n’existera pas avec Dieu!
Maintenant, comment associé « salut et repos » et « rappel de mes oeuvres »? Je ne le sais pas! Et je pense qu’il est bon que je ne le sache pas pour que je garde toujours cette crainte de l’Éternel… mais avant tout la confiance de son amour. Et puisque je connais sa bonté et son pardon, dans un sens – J’ai confiance en son pardon mais j’ai crainte des traces que je laisserai! Et c’est ce qui me fait confesser mon péché –
« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » 1 Jean 1.9
Aussi, comment être pur et avoir des traces de saleté? Encore là je ne sais pas!
Bon! J’arrête d’essayer de comprendre! Je me réconforte en son amour, et je veille à mes oeuvres!! Confiant en Lui mais prudent de moi!
Apocalypse 14.1-13
Je regardai, et voici, l’agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. Et j’entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d’un grand tonnerre; et la voix que j’entendis était comme celle de joueurs de harpes jouant de leurs harpes. Et ils chantent un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre êtres vivants et les vieillards. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, si ce n’est les cent quarante-quatre mille, qui avaient été rachetés de la terre. Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges; ils suivent l’agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d’entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l’agneau; et dans leur bouche il ne s’est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d’une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux. Et un autre, un second ange suivit, en disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité! Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte: Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l’agneau. Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n’ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. C’est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. Et j’entendis du ciel une voix qui disait: Écris: Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent.