Il y a un lien familiale qui est précieux, que l’on chérie et que l’on veut garder. Est-ce que c’est toujours comme cela? Bien sûr que non. Et il en est de même dans les liens de famille, de sang ou d’esprit. Mais pourquoi? Qu’est-ce qui fait la différence entre ce lien que l’on recherche et celui que l’on évite?
Je ne suis pas sûr de comprendre entièrement le contexte même après avoir lu plusieurs commentateurs. Pour moi de l’huile que me coule dans la figure, c’est… ouach! Je vais donc essayer de me mettre dans la peaux de celui qui reçois l’huile.
– Il y a un aspect incommodant, non confortable.
– L’odeur de l’huile parfumée est plaisante pour le sacrificateur contrairement aux odeurs des sacrifices que je sent généralement. – – – L’huile laisse une marque sur mon vêtement qui ne pourra être enlevé (pas dans ce temps là) qui témoigne du moment ou l’huile a coulée.
Pour ce qui est de la rosée qui coule, elle apporte le rafraichissement nécessaire avant qu’apparaisse le soleil.
Comparons maintenant à la relation fraternelle:
– Incommodant et non confortable au début et me sort de ma zone de confort – oui.
– De bon odeur, plaisant, cette bonté d’un frère dans un monde méchant ou chacun ne recherche que sont profit personnel – oui.
– Une marque visible qui ne s’efface pas. Un amour que les autres peuvent reconnaitre entre deux frères (lorsqu’il existe) et qui est même envié par ceux qui ne l’ont pas – oui.
– Un rafraichissement qui prépare le coeur avant l’arrivée des moments difficiles et des épreuves – oui.
C’est ce lien fraternel que je vais rechercher et il commence par mon implication. Par l’huile et la rosée que je vais verser.
Aujourd’hui pour moi. J’entretiendrai cet amour fraternel qui a tant de potentiel de bénédiction. Que j’ai besoin!
Psaume 133
1 Cantique des degrés. De David. Voici, oh! qu’il est agréable, qu’il est doux Pour des frères de demeurer ensemble!
2 C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, Descend sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, Qui descend sur le bord de ses vêtements.
3 C’est comme la rosée de l’Hermon, Qui descend sur les montagnes de Sion; Car c’est là que l’Éternel envoie la bénédiction, La vie, pour l’éternité.