Déborah et Jaël.
Ici, une triste histoire d’Israël qui est opprimé par un roi méchant, Sisera. Ce dernier sera vaincu par la juge Déborah et même exécuté par Jaël, femme de Héber. Ce n’est pas une situation habituelle, durant cette période, d’avoir des femmes qui sont devenues leaders et modèles d’un peuple. Mais cela nous démontre que Dieu ne s’arrête pas à nos limites mais il nous utilise en fonction d’un seul critère : « Mon cœur est-il disponible à Lui ? », comme il est dit dans ce passage au verset 31 : « Ceux qui l’aiment sont comme le soleil, Quand il paraît dans sa force. Le pays fut en repos pendant quarante ans. »
Est-ce que j’aime Dieu ? Est-ce que je vais le laisser se servir de moi, pour amener le repos à ceux qui m’entourent ? Comme Déborah et Jaël !
Juges 5.24-31
Bénie soit entre les femmes Jaël, Femme de Héber, le Kénien! Bénie soit-elle entre les femmes qui habitent sous les tentes! Il demanda de l’eau, elle a donné du lait, Dans la coupe d’honneur elle a présenté de la crème. D’une main elle a saisi le pieu, Et de sa droite le marteau des travailleurs; Elle a frappé Sisera, lui a fendu la tête, Fracassé et transpercé la tempe. Aux pieds de Jaël il s’est affaissé, il est tombé, il s’est couché; A ses pieds il s’est affaissé, il est tombé; Là où il s’est affaissé, là il est tombé sans vie. Par la fenêtre, à travers le treillis, La mère de Sisera regarde, et s’écrie: Pourquoi son char tarde-t-il à venir? Pourquoi ses chars vont-ils si lentement? Les plus sages d’entre ses femmes lui répondent, Et elle se répond à elle-même: Ne trouvent-ils pas du butin? ne le partagent-ils pas? Une jeune fille, deux jeunes filles par homme, Du butin en vêtements de couleur pour Sisera, Du butin en vêtements de couleur, brodés, Un vêtement de couleur, deux vêtements brodés, Pour le cou du vainqueur. Périssent ainsi tous tes ennemis, ô Éternel! Ceux qui l’aiment sont comme le soleil, Quand il paraît dans sa force. Le pays fut en repos pendant quarante ans.