Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Écouter et admirer… Il est Dieu !  Job 38.1-18

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Il est surprenant, intéressant et réconfortant que l’Éternel réponde à Job !  Pas ses amis (pour eux, ce sera plus tard), pas Elihu, mais Job, son serviteur « homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal » (Job 1.8).

Dieu décrit à Job sa création et le questionne sur celle-ci, lui démontrant ainsi la futilité de remettre en question la présence de Dieu dans le moindre élément de l’univers.  Lisons, encore et encore ce texte merveilleux où l’Éternel décrit la terre et le ciel et tout ce qui est inanimé (chapitre 38), et les êtres vivants qu’il a créés (chapitre 39).

Il donne ainsi à l’homme la solution au contrôle de ses pensées, lorsque le désespoir l’a envahi et qu’il craint l’absence de Dieu.  Cette solution est de regarder à l’immensité de la création et sa perfection dans les moindres détails.  Ceci ramènera l’enfant de Dieu à la mesure Divine de la création et de la présence de Dieu.

Donc, pas grand-chose à dire aujourd’hui.  Dieu le dit à Job, et à moi qui lit ce texte, au verset 18 – « Parle, si tu sais toutes ces choses ».

Non, je ne sais rien et je vais lire aujourd’hui, l’enseignement des chapitres 38 et 39, et me taire. 

Écouter Dieu, admirer sa création et se taire.  Il est Dieu de l’univers, mais malgré sa grandeur, il veut parler personnellement à mon cœur.

J’écoute !

Job 38.1-18

L’Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit: Qui est celui qui obscurcit mes desseins Par des discours sans intelligence? Ceins tes reins comme un vaillant homme; Je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Où étais-tu quand je fondais la terre? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu? Ou qui a étendu sur elle le cordeau? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie? Qui a fermé la mer avec des portes, Quand elle s’élança du sein maternel; Quand je fis de la nuée son vêtement, Et de l’obscurité ses langes; Quand je lui imposai ma loi, Et que je lui mis des barrières et des portes; Quand je dis: Tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au delà; Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots? Depuis que tu existes, as-tu commandé au matin? As-tu montré sa place à l’aurore, Pour qu’elle saisisse les extrémités de la terre, Et que les méchants en soient secoués; Pour que la terre se transforme comme l’argile qui reçoit une empreinte, Et qu’elle soit parée comme d’un vêtement; Pour que les méchants soient privés de leur lumière, Et que le bras qui se lève soit brisé? As-tu pénétré jusqu’aux sources de la mer? T’es-tu promené dans les profondeurs de l’abîme? Les portes de la mort t’ont-elles été ouvertes? As-tu vu les portes de l’ombre de la mort? As-tu embrassé du regard l’étendue de la terre? Parle, si tu sais toutes ces choses.

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