Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Écouter la bonne voix pour suivre la bonne voie!

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Et maintenant Paul est envoyé à Rome sous la surveillance d’un centenier.  Un voyage agréable dans un sens car il garde une certaine liberté et peut rencontrer des amis et des frères.  Ils voyagent par bateau au gré des vents et des tempêtes.  Alors que la navigation devient dangereuse, les autres s’appuis sur les dires des hommes mais Paul fait confiance à Dieu qui lui révèle l’avenir de son voyage.  Tout un voyage ou Paul pourra encore témoigner de la fidélité de son Dieu.

Ça ressemble pas mal au voyage qu’on vient de faire, sauf pour les chaînes! 😉  Agréable car Dieu était avec nous tout le long.  Difficile?  Oui, parfois, mais pas quand on regardait à Dieu plutôt qu’aux hommes.  Suis-je prêt à faire confiance à Dieu pour mon avenir ou vais-je me fier à la direction des hommes ?  Bien sûr, je ne suis pas comme Paul et Dieu ne me parle pas directement.  Il se sert plutôt d’homme autour de toi pour m’aider. Comment reconnaître ceux qui sont des messagers de Dieu (même si ils ne le savent pas) et ceux qui n’apportent que les messages des hommes?  

Comment reconnaître la direction de Dieu quand ta vie est troublée par des vents et tempêtes.  Tu peux t’appuyer sur sa parole écrite, lui faire confiance et être patient.  Il te montrera le bon chemin.  Pries-tu pour qu’il ferme les portes que tu ne dois pas prendre ?  Même si parfois tu peux être tenté de les ouvrir !  Comment suivre le bon chemin, qui même si difficile, est le bonheur pour moi au bout du compte?

Actes 27:1-13

Quand notre embarquement pour l’Italie a été décidé, on a confié Paul et quelques autres prisonniers à un dénommé Julius, officier de la cohorte impériale. Nous sommes montés sur un bateau d’Adramytte qui devait faire voile vers les côtes de l’Asie et nous sommes partis. Aristarque, un Macédonien de Thessalonique, était avec nous.  Le jour suivant, nous avons abordé à Sidon; Julius, qui traitait Paul avec bienveillance, lui a permis d’aller chez ses amis et de recevoir leurs soins.Partis de là, nous avons longé l’île de Chypre, parce que les vents étaient contraires. Après avoir traversé la mer qui baigne la Cilicie et la Pamphylie, nous sommes arrivés à Myra en Lycie. Là, ayant trouvé un bateau d’Alexandrie qui allait en Italie, l’officier nous y a fait monter.  Pendant plusieurs jours nous avons navigué lentement, et ce n’est pas sans difficulté que nous sommes parvenus à la hauteur de Cnide, où le vent ne nous a pas permis d’aborder. Nous avons alors doublé le cap Salmoné pour passer au sud de la Crète. Nous avons longé l’île avec peine et sommes arrivés à un endroit appelé Beaux-Ports près de la ville de Lasée.  Un temps assez long s’était écoulé et la navigation devenait dangereuse, car l’époque même du jeûne était déjà passée. C’est pourquoi Paul a donné cet avertissement: 10 «Mes amis, je vois que la navigation ne se fera pas sans dommages et qu’il y aura beaucoup de pertes, non seulement pour la cargaison et pour le bateau, mais encore pour nous-mêmes.» 11 Mais l’officier se fiait plus au capitaine et au patron du bateau qu’aux paroles de Paul. 12 Comme le port n’était pas approprié pour hiverner, la plupart ont été d’avis de le quitter pour essayer d’atteindre Phénix, un port de Crète orienté vers le sud-ouest et le nord-ouest, afin d’y passer l’hiver.  13 Un léger vent du sud s’est mis à souffler et, se croyant maîtres de leur projet, ils ont levé l’ancre et ont longé de près l’île de Crète.

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