Un tout petit bout de phrase qui me frappe entre les deux yeux ce matin. Le voici: « … ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, … » vs9 Est-ce que je suis connu de Dieu?
On parle tellement de connaître, connaître, connaître! On en parle dans nos écoles, nos universités, nos discussions, nos conversations sur Facebook… je connais ceci et cela. Souvent on ne veut apprendre, connaître, que pour dire que l’on connaît. Ça fait du bien de dire que l’on connaît quelque chose… ou quelqu’un!
Moi je connaît telle personne! Moi je connais… Bill Gate!! J’ai même entendu un prédicateur évangélique, dernièrement qui parlais du moment fort de sa vie… et il avait des photos pour le démontrer… il a connu mère Térésa! Et l’ultime… je connais Dieu!
Mais Paul nous remet sur la bonne voie avec son « plutôt »!! « mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu » Voici un principe essentiel pour ma vie spirituelle. Il est bien beau de dire que je connais Dieu, mais est-ce qu’il me connaît. Il est évident que Dieu connaît tous le monde, mais ici on parle de relation réciproque. Est-ce que j’ai une relation avec Dieu? Je veux le connaître mais est-ce que je veux qu’Il me connaisse? Est-ce que je veux lui ouvrir ma vie, mon coeur pour qu’Il me connaisse?
Et ce principe peut s’appliquer dans le reste de ma vie! On veut connaître mais on ne veut pas vraiment être connu. On veut garder beaucoup de chose pour nous… surtout ce qui n’est pas trop glorieux!! 🙁
Je connais mon ami mais est-ce qu’il me connaît? Je connais Mimi mais est-ce qu’elle me connaît? Est-ce que tu me connais?
GALATES 4:8-18 – Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature; 9 mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces faibles et pauvres principes élémentaires auxquels vous voulez vous asservir encore? 10 Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! 11 Je crains d’avoir inutilement travaillé pour vous. 12 Soyez comme moi, car moi aussi je suis comme vous. Frères, je vous en supplie. 13 Vous ne m’avez fait aucun tort. Vous savez que ce fut à cause d’une infirmité de la chair que je vous ai annoncé pour la première fois l’Evangile. 14 Et mis à l’épreuve par ma chair, vous n’avez témoigné ni mépris ni dégoût; vous m’avez, au contraire, reçu comme un ange de Dieu, comme Jésus-Christ. 15 Où donc est l’expression de votre bonheur? Car je vous atteste que, si cela avait été possible, vous vous seriez arraché les yeux pour me les donner. 16 Suis-je devenu votre ennemi en vous disant la vérité? 17 Le zèle qu’ils ont pour vous n’est pas pur, mais ils veulent vous détacher de nous, afin que vous soyez zélés pour eux. 18 Il est beau d’avoir du zèle pour ce qui est bien et en tout temps, et non pas seulement quand je suis présent parmi vous.