Quelle belle image, ou analogie, de celui qui erre sur les flots qui le mèneront à sa perte !
« Les insensés, par leur conduite coupable et par leurs iniquités, s’étaient rendus malheureux. Leur âme avait en horreur toute nourriture, Et ils touchaient aux portes de la mort. »
Et voici, la vie de celui qui désir le péché. Un choix insensé, une conduite coupable et une vie d’iniquité devant Dieu. Le résultat n’est pas la joie désirée, mais le malheur. Au point d’avoir en horreur la nourriture et s’approcher de la mort. N’est-ce pas ce que vit celui qui s’approche et se laisse aller à ses abus et ses dépendances ? Il perd le contrôle même de sa vie. Il n’est plus capable de l’essentiel pour survivre, mais se dirige vers sa perte.
« Ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires, et qui travaillaient sur les grandes eaux, »
Ils naviguent sur une mer de tentations par des moyens (navires) qu’ils pensent sécuritaires et ils se pensent en contrôle.
« Ceux-là virent les œuvres de l’Éternel et ses merveilles au milieu de l’abîme. »
Même au milieu de l’abîme où il se retrouve, ils peuvent voir les œuvres et les merveilles de l’Éternel.
« Il dit, et il fit souffler la tempête, qui souleva les flots de la mer. Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l’abîme; Leur âme était éperdue en face du danger; Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme ivre, et toute leur habileté était anéantie. »
L’Éternel reste en contrôle, parmi cet abime qui m’environne, en contrôle des épreuves qui pourront me perdre. Éperdu, vertige, comme ivre et sans plus d’habileté, ils descendent dans l’abime.
« Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, et il les délivra de leurs angoisses; Il arrêta la tempête, ramena le calme, et les ondes se turent. Ils se réjouirent de ce qu’elles s’étaient apaisées, et l’Éternel les conduisit au port désiré. »
Au moment de leur détresse, ils ont crié à l’Éternel, et par sa bonté il les a :
– Délivrés de leurs angoisses.
– Arrêter la tempête autour d’eux.
– Ramener le calme dans leur vie.
– Fais taire ce bruit qui leur fait craindre le pire.
– Ramène apaisement et joie.
– Finalement, les conduits au port qu’ils désirent retrouver.
Au début, comme à la fin de ce passage, deux cris sont entendus :
– Le premier, un cri de détresse. (vs 19 et 28)
– Le deuxième, un chant de louange, des actions de grâces, et cris de joie. (vs 21-22 et 31-32)
Finalement, celui qui était perdu par sa faute, par ses actions, témoigne de la bonté de l’Éternel qui a agi en sa faveur pour le sauver.
Psaumes 107.17-32
Les insensés, par leur conduite coupable Et par leurs iniquités, s’étaient rendus malheureux. Leur âme avait en horreur toute nourriture, Et ils touchaient aux portes de la mort. Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, Et il les délivra de leurs angoisses; Il envoya sa parole et les guérit, Il les fit échapper de la fosse. Qu’ils louent l’Éternel pour sa bonté, Et pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme! Qu’ils offrent des sacrifices d’actions de grâces, Et qu’ils publient ses oeuvres avec des cris de joie! Ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires, Et qui travaillaient sur les grandes eaux, Ceux-là virent les oeuvres de l’Éternel Et ses merveilles au milieu de l’abîme. Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer. Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l’abîme; Leur âme était éperdue en face du danger; Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme ivre, Et toute leur habileté était anéantie. Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, Et il les délivra de leurs angoisses; Il arrêta la tempête, ramena le calme, Et les ondes se turent. Ils se réjouirent de ce qu’elles s’étaient apaisées, Et l’Éternel les conduisit au port désiré. Qu’ils louent l’Éternel pour sa bonté, Et pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme! Qu’ils l’exaltent dans l’assemblée du peuple, Et qu’ils le célèbrent dans la réunion des anciens!