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Bien sûr que nous ne parlerons pas d’éliminer les sexes, comme le voudraient certains. Au contraire, nous apprendrons à respecter chacun selon son sexe en les plaçant sur un pied d’égalité devant Dieu, tel que nous le dit ce texte :
« Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme;
car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3.28
Et maintenant, parlons de la façon dont la femme est perçue dans la Bible et encore mieux, comment la femme est-elle considérée par Dieu?
Il est évident que cela n’a rien à voir avec la situation dans ce monde et comment la femme a été traitée à travers les âges. Et bien sûr j’inclus les mauvais traitements qu’elle a eus à travers les religions, puisque celles-ci sont aussi des institutions d’hommes. Rien à voir entre la foi et la religion et je pense que vous connaissez ma position là-dessus.
Établissons tout d’abord que nous ne devons pas nous servir de la liberté que nous pouvons avoir, devant Dieu et par Dieu, pour ne pas respecter chaque culture et contexte sociaux. Comme exemple, je peux vous affirmer que Mimi ne s’habille pas de la même façon en Afrique qu’au Québec, aux USA ou en Europe. Il y a des différences culturelles qui sont appuyées par une histoire. Parfois triste et déplorable mais la compréhension et le respect de chacun et de chaque culture doit être une priorité, si nous espérons comprendre l’autre.
Voici une illustration : lorsque nous allons à l’église en Afrique, les femmes sont habillées avec des grandes robes, très colorées et très jolies. Mais elles ne découvrent pas les jambes par respect et pudeur. Ça ne se fait pas et ce serait mal vu. Rien de surprenant et inacceptable pour nous. Par contre, au moment où je commence mon enseignement dans une église, qui durera au moins une heure (pas comme au Québec, car après 30 minutes les gens n’en peuvent plus! Mais ça fait partie de la culture je pense) quelque chose de très bizarre arrive. En effet, pendant une heure assise, pourquoi ne pas nourrir ces bébés qui ont soif et ils ont beaucoup de bébés en Afrique! Donc, au début de ma prédication je peux voir des dizaines de poitrines qui se découvrent pour faire boire ces bébés affamés. Laissez-moi vous dire que l’enseignant est un peu surpris, et gêné car si on parle de pudeur, il me semble que découvrir les mollets est moins grave que la poitrine, mais c’est la culture! 😉
Un autre élément qui me choque est le mauvais jugement apporté à la Bible quant à son traitement de la femme. Comme je l’ai dit plus tôt, il faut comprendre certains éléments culturels qui varient grandement d’une région à une autre mais aussi d’une période de l’histoire à une autre.
En résumé, j’aimerais vous présenter ici une vision de la femme, qui est celle de Dieu et qui nous est illustrée de différentes façons, que je présenterai à travers certains textes.
Et je crois que si nous prenions cet exemple, nous arrêterions tout de suite ce sexisme systémique. Celui-ci me frustre au plus haut point et me dégoute. Bien sûr, c’est en partie car des femmes ont été parmi, sinon les personnes les plus importantes de ma vie, incluant ma mère, mon épouse, mes deux filles et de nombreuses femmes qui m’ont beaucoup appris par leur attitude et intelligence.
Et si vous me demandez le pourquoi de ma frustration personnelle envers cette discrimination systémique fait depuis des siècles, envers les femmes ? Eh bien! Je vous répondrais une autre fois, si ça vous intéresse !
Donc commençons demain avec un des livres le plus surprenants et intéressants de la Bible : Le livre d’Esther. Ce sera une bonne introduction à d’autres éléments de la Bible qui nous expliquent comment Dieu considère la femme.
J’allais oublier mon calcul.
J’ai beaucoup les mathématiques.
Je perçois le fois x, comme un signe qui utilise l’autre pour s’augmenter.
1 x ½ = ½ Ces hommes qui perçoivent la femme comme moindre qu’eux-mêmes, deviennent en effet des moitiés d’hommes.
1 x 1 = 1 Même quand nous sommes égal, s’utiliser l’un l’autre ne mène à rien et ne nous grandit pas.
Le + est un signe qui combine et ajoute nos forces.
1 + 1 = 11 Je préfère le 11 au 2 car lorsque nous considérons l’autre comme égal et accumulons nos forces, nous devenons encore plus grand que la somme des deux !
Voici pour ma logique mathématique ! 😉
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