Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Israël, le peuple idéal pour apprendre… ce qu’il ne faut pas faire !

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            Dans le chapitre 8 nous avons lu que son peuple a demandé un roi pour le remplacer.  Ils rejettent Dieu !  Malgré cela, Dieu écoute leurs cris et vient à leur aide. 

 

« … car j’ai regardé mon peuple, parce que son cri est venu jusqu’à moi. » Vs 16

 

            Comment comprendre tant de bonté de Dieu envers un peuple si rebelle?  Mais je pense que ce peuple est le peuple idéal.  Idéal pour apprendre … « ce qu’il ne faut pas faire »!  Eh oui, un peuple rebelle, qui :

 

  • se tourne si facilement vers ses idoles,
  • se plaint tout le temps,
  • qui pleurent et cri à la moindre difficulté,
  • qui envie le succès des autres,
  • qui rejette ouvertement son Dieu,
  •  etc.

 

               Israël, le peuple idéal pour apprendre… ce qu’il ne faut pas faire!

 

Mais, ne suis-je pas comme cela aussi?  NON, pas moi!  ATTENTION, Dieu regarde au cœur et je ne peux rien lui cacher (nous en parlerons plus tard).  Ah oui, une autre caractéristique d’Israël … et de moi :  Faire semblant!  Montrer une belle apparence car l’apparence est si importante pour Israël … et pour moi?

 

               Serge, le gars idéal pour apprendre… ce qu’il ne faut pas faire!

 

Donc Dieu aime son peuple et le délivrera, comme il m’a délivré de la mort.  Mais il leur donnera aussi, ce que je demande, même si c’est mauvais pour moi.  Il semble que j’ai aussi besoin de cela pour apprendre!  Pour le peuple d’Israël, c’est un roi « … plus beau qu’aucun des enfants d’Israël, et les dépassant tous de la tête. »  Dieu leur donnera un roi selon leur désire de leur cœur, c.-à-d. selon l’apparence et non selon le cœur.

 

            Seigneur, apprends-moi!  À ne pas me fier à l’apparence et à demander ce qui est bon pour moi.  À te faire confiance!  Aide-moi à ne pas être un enfant gâté!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1 Samuel 9

 

Il y avait un homme de Benjamin, nommé Kis, fils d’Abiel, fils de Tséror, fils de Bécorath, fils d’Aphiach, fils d’un Benjamite, et vaillant homme. Il avait un fils, nommé Saül, jeune et beau, et aucun des enfants d’Israël n’était plus beau que lui; et, des épaules en haut, il dépassait tout le peuple. Or, les ânesses de Kis, père de Saül, s’étaient égarées; et Kis dit à Saül, son fils: Prends maintenant avec toi un des serviteurs, lève-toi, et va chercher les ânesses. Il passa donc par la montagne d’Éphraïm, et il passa par le pays de Shalisha, mais ils ne les trouvèrent point; puis ils passèrent par le pays de Shaalim, et elles n’y étaient pas; ils passèrent ensuite par le pays de Benjamin, et ils ne les trouvèrent point. Quand ils furent venus au pays de Tsuph, Saül dit à son serviteur, qui était avec lui: Viens, et retournons-nous-en, de peur que mon père ne cesse de s’inquiéter des ânesses, et ne soit en peine de nous. Mais il lui dit: Voici, je te prie, il y a dans cette ville un homme de Dieu, et c’est un homme vénéré, et tout ce qu’il dit arrive; allons-y maintenant; peut-être qu’il nous enseignera le chemin que nous devons suivre. Et Saül dit à son serviteur: Mais si nous y allons, que porterons-nous à cet homme ? car nos sacs sont vides de provisions, et nous n’avons aucun présent à porter à l’homme de Dieu. Qu’avons-nous avec nous ? Et le serviteur répondit de nouveau à Saül, et dit: Voici il se trouve encore entre mes mains le quart d’un sicle d’argent; je le donnerai à l’homme de Dieu, et il nous enseignera notre chemin. (Autrefois en Israël, quand on allait consulter Dieu, on disait ainsi: Venez, allons jusqu’au Voyant; car celui qu’on appelle aujourd’hui le prophète, s’appelait autrefois le Voyant.) Et Saül dit à son serviteur: Tu as bien dit; viens, allons. Et ils s’en allèrent à la ville où était l’homme de Dieu. Comme ils montaient par la montée de la ville, ils trouvèrent des jeunes filles qui sortaient pour puiser de l’eau, et ils leur dirent: Le Voyant est-il ici ? Et elles leur répondirent, et dirent: Il y est, le voilà devant toi; hâte-toi maintenant; car il est venu aujourd’hui à la ville, parce que le peuple fait aujourd’hui un sacrifice sur le haut lieu. Dès que vous serez entrés dans la ville, vous le trouverez, avant qu’il monte au haut lieu pour manger; car le peuple ne mangera point jusqu’à ce qu’il soit venu, parce qu’il doit bénir le sacrifice; après cela ceux qui sont conviés en mangeront. Montez donc maintenant; car vous le trouverez précisément aujourd’hui. Ils montèrent donc à la ville. Comme ils entraient dans le milieu de la ville, voici, Samuel, qui sortait pour monter au haut lieu, les rencontra. Or, un jour avant que Saül vînt, l’Éternel avait fait à Samuel une révélation, lui disant: Demain, à cette même heure, je t’enverrai un homme du pays de Benjamin, et tu l’oindras pour être conducteur de mon peuple d’Israël, et il délivrera mon peuple de la main des Philistins. Car j’ai regardé mon peuple, parce que son cri est venu jusqu’à moi. Et lorsque Samuel eut vu Saül, l’Éternel lui dit: Voici l’homme dont je t’ai parlé; c’est lui qui dominera sur mon peuple. Et Saül s’approcha de Samuel, au milieu de la porte, et dit: Indique-moi, je te prie, où est la maison du Voyant. Et Samuel répondit à Saül, et dit: C’est moi qui suis le Voyant. Monte devant moi au haut lieu, et vous mangerez aujourd’hui avec moi; et je te laisserai aller au matin, et je te déclarerai tout ce qui est en ton coeur. Mais quant aux ânesses que tu as perdues, il y a aujourd’hui trois jours, ne t’en mets point en peine, parce qu’elles ont été retrouvées. Et vers qui tend tout le désir d’Israël ? N’est-ce point vers toi, et vers toute la maison de ton père ? Et Saül répondit, et dit: Ne suis-je pas Benjamite, de la moindre tribu d’Israël, et ma famille n’est-elle pas la plus petite de toutes les familles de la tribu de Benjamin ? Et pourquoi m’as-tu tenu de tels discours ? Samuel prit Saül et son serviteur, et il les fit entrer dans la salle, et leur donna une place à la tête des conviés, qui étaient environ trente hommes. Et Samuel dit au cuisinier: Donne la portion que je t’ai donnée, et que je t’ai dit de réserver. Alors le cuisinier prit l’épaule, avec ce qui est dessus, et la mit devant Saül. Et Samuel dit: Voici ce qui a été réservé; mets-le devant toi, et mange, car il t’a été gardé pour cette heure, lorsque je résolus de convier le peuple. Et Saül mangea avec Samuel ce jour-là. Ils descendirent ensuite du haut lieu dans la ville, et Samuel parla avec Saül sur la plate-forme. Puis ils se levèrent de bon matin, et à la pointe du jour, Samuel appela Saül sur la plate-forme, et lui dit: Lève-toi, et je te laisserai aller. Saül se leva donc, et ils sortirent tous deux, lui et Samuel. Comme ils descendaient au bas de la ville, Samuel dit à Saül: Dis au serviteur qu’il passe devant nous (et il passa); mais toi, arrête-toi maintenant, que je te fasse entendre la parole de Dieu.

 

 

 

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