Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

La foi.  Ça commence par ça !  Genèse 1.1-19

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La création… ben voyons ! Croire à une telle histoire… ce n’est pas possible avec tout ce que la science nous enseigne !
Et voilà !  Le vrai problème en est un de foi !

Arrêtons de nous battre et nous insulter.  Comme toute personne sensée, je n’ai aucune objection à la science et aux recherches qui nous permettent de mieux connaitre notre monde et de mieux y interagir. C’est une tâche difficile de découvrir les phénomènes scientifiques présents et les comprendre, et les hommes de science font un très bon travail. L’histoire, avec ses découvertes, nous enseigne aussi beaucoup sur nous-mêmes et sur les comportements à ne pas reproduire.

Mais quand on parle de la création de l’univers, là ça ne tient plus de la compréhension scientifique ou de l’histoire, mais de la foi.  La création est un miracle. Comme tout miracle, il dépasse et contredit les règles de la nature. C’est pour cela qu’on appelle ça un miracle ! 

Certains scientifiques, en fouillant le sol, ont trouvé quelques os et se sont servis de leur découverte pour raconter comment l’homme des cavernes a vécu, son apparence, son comportement, ses habitudes de vie et presque son état d’âme ! On ne parle pas ici de croire au miracle de la création, qui nécessite la foi, mais au miracle (car on dépasse ici le domaine expérimental) des conclusions de ces hommes de sciences et cela nécessite aussi de la foi.

Il faut donc rester objectif face à ces différentes positions. Chacune a besoin de foi. On ne s’en sortira pas… on ne peut tout expliquer.  Moi je crois que c’est comme cela que Dieu l’a voulu, et je lis ce texte avec passion, puisqu’il me raconte le début de ce que Dieu a fait pour moi, pour toi.

Il faut la foi en Lui pour s’approcher de Lui (Hébreux 11.6).  La foi ne fait pas le miracle, mais le miracle demande la foi.  La création… un miracle ?  Oui j’ai foi !

 

Genèse 1.1-19

Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le premier jour. Dieu dit: Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit l’étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue. Et cela fut ainsi. Dieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le second jour. Dieu dit: Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit: Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le troisième jour. Dieu dit: Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le quatrième jour.

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