Quelle joie de lire Jérémie! Le chapitre commence par un homme qui se plaint, épuisé de son malheur.
Et j’ai dit: Ma force est perdue, je n’ai plus d’espérance en l’Éternel! vs 18
Il y a ensuite une réalisation que ce n’est pas de Dieu qu’il doit se plaindre. L’homme ne peut changer que lui-même.
Pourquoi l’homme vivant se plaindrait-il? Que chacun se plaigne de ses propres péchés. vs 39
Il finit avec la joie de l’homme qui réalise et reçoit la délivrance de Dieu. Ce Dieu qui m’aime!
J’ai invoqué ton nom, ô Éternel, du fond de la fosse. Tu as entendu ma voix: Ne ferme pas l’oreille à mes soupirs, à mes cris! Au jour où je tai invoqué, tu t’es approché, tu as dit: Ne crains pas! Seigneur, tu as défendu la cause de mon âme, tu as racheté ma vie. vs 55-58