Pardonnez-moi mon silence d’hier, mais j’étais incapable d’écrire. C’était mon moment de silence pour ceux qui sont mort d’avoir écrit!
On voit d’ailleurs dans le texte d’aujourd’hui encore, l’imbécilité de la religion.
Essayons d’avoir une étincelle de logique: les miracles viennent de Dieu + Jésus fait un miracle = Jésus est envoyé de Dieu! Mais non, c’est trop compliqué pour les pharisiens. Par leur religion, ils veulent empêcher Jésus de guérir le jour du sabbat. Si l’imbécilité tuait, ça fait longtemps que c’est pharisiens serait morts, ainsi que bien d’autres religieux de notre siècle! Mais l’imbécilité est en effet une maladie mortelle, mais mortelle pour les autres!
Les événements des derniers jours nous le montrent!!
Pourquoi Dieu n’intervient-il pas? Pourquoi ne nous empêche t-il pas d’être si imbécile?
Dans le fond c’est peut-être mieux pour nous tous, car peut-être que je serai déjà mort… mais être imbécile au point de tuer… et bien cela c’est plus qu’imbécile, c’est méchant, c’est pervers!
Jésus a réagit à cette méchanceté de leurs pensées. Il n’a pas arrêté de parler, au contraire: « Alors, promenant ses regards sur eux tous, il dit à l’homme: Étends ta main. Il le fit, et sa main fut guérie. » Il a agit. Il a guéri.
Il a fait le bien.
On ne peux combattre la méchanceté par un pardon aveugle…
Je peux penser ce que je veux, je peux dire ou écrire ce que je veux (souhaitant que le respect de l’autre me dirige), mais je ne peux agir avec méchanceté sans craindre la justice. Justice sur cette terre, mais sinon au ciel un jour! Mais tout cela est un autre sujet.
Je peux par contre faire le bien, malgré que je serai peut-être critiqué.
Donc, après tant de violence je serais tenté de vouloir changer le monde mais il n’y a qu’une personne que je peux vraiment changer. Il n’y a qu’un imbécile que je peux instruire,
Je vais filtrer mes pensées, adoucir mes paroles, controler mes action!… essayer…
Luc 6.1-12
1 Il arriva, un jour de sabbat appelé second-premier, que Jésus traversait des champs de blé. Ses disciples arrachaient des épis et les mangeaient, après les avoir froissés dans leurs mains. 2 Quelques pharisiens leur dirent: Pourquoi faites-vous ce qu’il n’est pas permis de faire pendant le sabbat? 3 Jésus leur répondit: N’avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu’il eut faim, lui et ceux qui étaient avec lui; 4 comment il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de proposition, en mangea, et en donna à ceux qui étaient avec lui, bien qu’il ne soit permis qu’aux sacrificateurs de les manger? 5 Et il leur dit: Le Fils de l’homme est maître même du sabbat. 6 Il arriva, un autre jour de sabbat, que Jésus entra dans la synagogue, et qu’il enseignait. Il s’y trouvait un homme dont la main droite était sèche. 7 Les scribes et les pharisiens observaient Jésus, pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat: c’était afin d’avoir sujet de l’accuser. 8 Mais il connaissait leurs pensées, et il dit à l’homme qui avait la main sèche: Lève-toi, et tiens-toi là au milieu. Il se leva, et se tint debout. 9 Et Jésus leur dit: Je vous demande s’il est permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une personne ou de la tuer. 10 Alors, promenant ses regards sur eux tous, il dit à l’homme: Étends ta main. Il le fit, et sa main fut guérie. 11 Ils furent remplis de fureur, et ils se consultèrent pour savoir ce qu’ils feraient à Jésus. 12 En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu.