Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

L’obéissance ? Que du bonheur ! Jean 12.44-50

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Jésus dit du Père : « Son commandement est la vie éternelle. »

Et pour plusieurs, il est difficile d’accepter un commandement, car généralement, quand des commandements nous sont donnés par des hommes, ce n’est pas pour notre avantage, mais pour le leur ! Il faut oublier ces mauvais modèles d’autorité qui nous haïr l’obéissance, qui nous font hésiter à nous approcher de Dieu, le père.

Mes filles se souviendraient que lorsque nous allions en vacance dans le Maine, il y avait un commandement important à suivre, à obéir… se pencher vers l’avant, la tête sur les genoux, lorsque Papa ou Maman l’ordonneraient !  En effet, si l’un de nous voyait un orignal sur la route, et qu’il évaluait la possibilité de le frapper (un accident souvent mortel pour les passagers !) nous aurions crié le commandement : « Penchez-vous ! »  Pas question d’hésiter, mais obéir sur le champ. Le commandement était pour leur bien… pour leur survie !

Écouter Dieu le Père, un bon père, qui a donné la vie de son fils pour mon salut (et ce fils qui a accepté volontairement de la donner) peut être obéi sans rien craindre, mais plutôt la crainte que ne pas obéir pourrait me détruire.  Le commandement n’est pas la conséquence, mais la démonstration d’amour qui me permet de ne pas vivre une conséquence fâcheuse. 

Obéir à Dieu ? C’est pour mon bien, ce n’est « que du bonheur » (comme dirait quelqu’un que j’aime beaucoup) et c’est pour la vie éternelle.

 

Jean 12.44-50

Or, Jésus s’était écrié: Celui qui croit en moi croit, non pas en moi, mais en celui qui m’a envoyé; et celui qui me voit voit celui qui m’a envoyé. Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde point, ce n’est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n’ai point parlé de moi-même; mais le Père, qui m’a envoyé, m’a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer. Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C’est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites.

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