Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Mes vieux genoux!  ;-)

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Face contre terre!  Une expression qui revient à plusieurs reprises sans la Bible.  Normalement, c’est une réaction volontaire de l’homme qui veut s’incliner et montrer respect à une autorité.  L’idée de fléchir le  genou mais avec plus d’intensité car c’est jusquà…  « face contre terrre ».  Les rois l’acceptent car cela flate leur orgueil, et cela ressemble à ce que font les hommes face à leurs dieux.  Certains hommes on voulus le faire face à des anges, mais  ces derniers les ont empêchés de le faire, car c’est un action qui devrait en réalité être réservé à Dieu.  Quatres hommes (Ezéchie, Daniel, Paul et Jean), entre autres, l’ont fait devant Jésus, devant Dieu!  Et de façon non volontaire mais parce que devant Dieu… les genous ne peuvent  tenir par la grandeur de la  vision.  Cette vision  est décrite  par Daniel et Jean (elles sont à la fin de ce texte, si ça vous intéresse).

Plus encore que la grandeur de la vision, ce qui me touche sont les mots: « Ne crains, rien », « c’est à cause de tes paroles que je viens. » et « il posa sa main sur moi ».

Jésus est Dieu, il m’entend, viens vers moi et me touche pour me redonner force!  Cela  n’a rien à voir avec l’orgeuil des dieux des hommes, ou des dieux humains que nous nous faisons  (nos rois!).  Même si Lui-seul pourrait imposer la crainte à tous, Ce Dieu unique, démontre l’amour pure et simple… envers celui  qui  le cherche!   Je l’ai cherché, je l’ai trouvé… pour l’éternité!  Mes genoux fléchissent, et pas seulement pace que j’ai de vieux genoux!  😉

Si  tu as le temps, voici les deux visions, de Daniel et Jean

Vision de Daniel:  Je levai les yeux, je regardai, et voici, il y avait un homme vêtu de lin, et ayant sur les reins une ceinture d’or d’Uphaz. Son corps était comme de chrysolithe, son visage brillait comme l’éclair, ses yeux étaient comme des flammes de feu, ses bras et ses pieds ressemblaient à de l’airain poli, et le son de sa voix était comme le bruit d’une multitude. … ; les forces me manquèrent, mon visage changea de couleur et fut décomposé, et je perdis toute vigueur. J’entendis le son de ses paroles; et comme j’entendais le son de ses paroles, je tombai frappé d’étourdissement, la face contre terre. Et voici, une main me toucha, et secoua mes genoux et mes mains. Puis il me dit: Daniel, homme bien-aimé, sois attentif aux paroles que je vais te dire, et tiens-toi debout à la place où tu es; car je suis maintenant envoyé vers toi. Lorsqu’il m’eut ainsi parlé, je me tins debout en tremblant. Il me dit: Daniel, ne crains rien; car dès le premier jour où tu as eu à coeur de comprendre, et de t’humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c’est à cause de tes paroles que je viens. Daniel 10

Vision de Jean:  Et, après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or, et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; yeux étaient comme une flamme de feu; ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux. Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force. Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! (1:18) Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts.  Jean 1


Daniel 10.1-9  1 La troisième année de Cyrus, roi de Perse, une parole fut révélée à Daniel, qu’on nommait Beltschatsar. Cette parole, qui est véritable, annonce une grande calamité. Il fut attentif à cette parole, et il eut l’intelligence de la vision. 2 En ce temps-là, moi, Daniel, je fus trois semaines dans le deuil. 3 Je ne mangeai aucun mets délicat, il n’entra ni viande ni vin dans ma bouche, et je ne m’oignis point jusqu’à ce que les trois semaines fussent accomplies. 4Le vingt-quatrième jour du premier mois, j’étais au bord du grand fleuve qui est Hiddékel. 5Je levai les yeux, je regardai, et voici, il y avait un homme vêtu de lin, et ayant sur les reins une ceinture d’or d’Uphaz. 6 Son corps était comme de chrysolithe, son visage brillait comme l’éclair, ses yeux étaient comme des flammes de feu, ses bras et ses pieds ressemblaient à de l’airain poli, et le son de sa voix était comme le bruit d’une multitude. 7Moi, Daniel, je vis seul la vision, et les hommes qui étaient avec moi ne la virent point, mais ils furent saisis d’une grande frayeur, et ils prirent la fuite pour se cacher. 8 Je restai seul, et je vis cette grande vision; les forces me manquèrent, mon visage changea de couleur et fut décomposé, et je perdis toute vigueur. 9 J’entendis le son de ses paroles; et comme j’entendais le son de ses paroles, je tombai frappé d’étourdissement, la face contre terre. 

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