Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

NON…

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Nous  avons vus, dans les derniers jours, que l’amertume produit la destruction pour  les  autres  commes pour moi, et maintenant que  l’amour profond produit « bonheur, joie, allégresse et gloire » vs17  

Mais pourtant certains diront que la gloire des juifs, dans ce texte, a été trouvé par la destruction des autres.  

Philisophique ce matin?!  eh oui, des fois il faut raisonner pour ne pas simplement  résonner! 😉

Donc, ne peut-il y avoir de gloire, sans destruction? De bonheur, sans malheur? De paradis, sans enfer?  Certains on même dit que les deux doivent aller ensemble, et ne peuvent exister l’un sans l’autre.  Le mal est aussi nécessaire que le bien, le principe  du yin et du yang.  C’est ce que je veux dire par résonner, plutôt que raisonner!

Il ne faut pas confondre les travers de l’homme avec les lois de l’univers.  Nous sommes tellement insensibles à tout ce qui est en dehors de notre petite personne que nous avons besoin du mal pour reconnaitre le bien, de la pauvreté pour apprécier  la richesse.  Et le fait de justifier les deux, nous pousse à … accepter la pauvreté des autres, … lorsque  je suis  riche!  (un auteur Québecois à d’ailleurs écrit un texte ironique et triste sur  ce sujet)  Et par la  suite cette philosophie nous amène a avoir du dédain pour le malheureux, lorsque je suis heureux… du dédain pour le malade, lorsque je suis en santé.  (et je  n’exagère pas car j’ai été témoin dela méchanceté de cette façon de penser).

NON, le bien n’a pas besoin du mal pour survivre, au  contraire, le mal doit être éliminé pour que le bien puisse survivre.  Il ne sont pas liés par nécessité, mais uniquement par négligence.

Lorsque je  néglige de faire le bien, le mal se tient à la porte.   Lorsque je ferme les yeux sur le mal, il m’envahit jusqu’à ne plus voir le bien.

Esther et sa famille  était sauvée, mais elle n’a pas fermer les yeux sur le mal, par amour pour  son peuple!

Qui est mon peuple, mes amis,  ma famille, qui ont besoins de ma protection, de mon soutien, de mon amour?

Un NON au mal aujoud’hui!!  Ça prend plus que du courage, ça prend de l’amour!!

Esther 8 – 1 En ce même jour, le roi Assuérus donna à la reine Esther la maison d’Haman, l’ennemi des Juifs; et Mardochée parut devant le roi, car Esther avait fait connaître la parenté qui l’unissait à elle. 2 Le roi ôta son anneau, qu’il avait repris à Haman, et le donna à Mardochée; Esther, de son côté, établit Mardochée sur la maison d’Haman. 3 Puis Esther parla de nouveau en présence du roi. Elle se jeta à ses pieds, elle pleura, elle le supplia d’empêcher les effets de la méchanceté d’Haman, l’Agaguite, et la réussite de ses projets contre les Juifs. 4 Le roi tendit le sceptre d’or à Esther, qui se releva et resta debout devant le roi. 5 Elle dit alors: Si le roi le trouve bon et si j’ai trouvé grâce devant lui, si la chose paraît convenable au roi et si je suis agréable à ses yeux, qu’on écrive pour révoquer les lettres conçues par Haman, fils d’Hammedatha, l’Agaguite, et écrites par lui dans le but de faire périr les Juifs qui sont dans toutes les provinces du roi. 6 Car comment pourrais-je voir le malheur qui atteindrait mon peuple, et comment pourrais-je voir la destruction de ma race?  7 Le roi Assuérus dit à la reine Esther et au Juif Mardochée: Voici, j’ai donné à Esther la maison d’Haman, et il a été pendu au bois pour avoir étendu la main contre les Juifs. 8 Écrivez donc en faveur des Juifs comme il vous plaira, au nom du roi, et scellez avec l’anneau du roi; car une lettre écrite au nom du roi et scellée avec l’anneau du roi ne peut être révoquée. 9 Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l’on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l’Inde à l’Éthiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue. 10 On écrivit au nom du roi Assuérus, et l’on scella avec l’anneau du roi. On envoya les lettres par des courriers ayant pour montures des chevaux et des mulets nés de juments. 11 Par ces lettres, le roi donnait aux Juifs, en quelque ville qu’ils fussent, la permission de se rassembler et de défendre leur vie, de détruire, de tuer et de faire périr, avec leurs petits enfants et leurs femmes, tous ceux de chaque peuple et de chaque province qui prendraient les armes pour les attaquer, et de livrer leurs biens au pillage, 12 et cela en un seul jour, dans toutes les provinces du roi Assuérus, le treizième du douzième mois, qui est le mois d’Adar. 13 Ces lettres renfermaient une copie de l’édit qui devait être publié dans chaque province, et informaient tous les peuples que les Juifs se tiendraient prêts pour ce jour-là à se venger de leurs ennemis. 14 Les courriers, montés sur des chevaux et des mulets, partirent aussitôt et en toute hâte, d’après l’ordre du roi. L’édit fut aussi publié dans Suse, la capitale. 15 Mardochée sortit de chez le roi, avec un vêtement royal bleu et blanc, une grande couronne d’or, et un manteau de byssus et de pourpre. La ville de Suse poussait des cris et se réjouissait. 16 Il n’y avait pour les Juifs que bonheur et joie, allégresse et gloire. 17 Dans chaque province et dans chaque ville, partout où arrivaient l’ordre du roi et son édit, il y eut parmi les Juifs de la joie et de l’allégresse, des festins et des fêtes. Et beaucoup de gens d’entre les peuples du pays se firent Juifs, car la crainte des Juifs les avait saisis.

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