(Pour ceux qui sont offensé de voir ce mot et se demande pourquoi je l’utilise, lire plus loin.)
Un vase n’a de valeur qu’en fonction de ce qu’il contient. Dieu désire y mettre de bonne chose pour servir à des oeuvres d’honneur. Ces oeuvres sont à Lui et de Lui. Je ne suis que le contenant qui les transporte. Mais quel privilège d’être le contenant de ces oeuvres glorieuses. Wow! Et c’est ça que chacun recherche et que je recherche.
Mais si on prend ce vase et y met de la merde, parce que c’est généralement ce que l’homme est capable de produire (si vous n’êtes pas convaincu regardé les nouvelles)? Et puis assez les généralités! Je vais arrêter de parler de ce que les autres produisent mais de ce que JE suis capable de produire!
Et bien si j’arrêtais un peu de remplir ce vase de ce que je suis capable de produire et laissait Dieu y mette quelque chose de valeur, alors j’aurai le bonheur que moi et Lui cherchons tant.
Je sais quoi faire aujourd’hui! Hmm… ça commence déjà à sentir meilleur! 😉
Réflexion sur le vase:
Je suis le vase que Dieu veut utiliser!
« Dans une grande maison, il n’y a pas seulement des vases d’or et d’argent, mais il y en a aussi de bois et de terre; les uns sont des vases d’honneur, et les autres sont d’un usage vil. Si donc quelqu’un se conserve pur, en s’abstenant de ces choses, il sera un vase d’honneur, sanctifié, utile à son maître, propre à toute bonne oeuvre. » vs 20,21
Quelle sagesse des illustrations de Paul pour me faire comprendre qui je suis et comment je dois agir.
Dans une grande maison, il n’y a pas seulement des ustensiles d’or et d’argent, mais il y en a aussi en bois et en terre. Les uns sont d’un usage noble, les autres d’un usage méprisable. 21 Si donc quelqu’un se purifie de ces choses, il sera un vase d’usage noble, saint, utile à son maître, prêt pour toute œuvres bonne.
Pourquoi j’ai utilisé le mot merde!?
Certains trouverons que je ne suis pas poli en parlant de merde! Ce mot est en effet impoli quand il est utilisé pour insulté, pour choqué, mais ne soyons pas hypocrites… les déchets que je produit restent des déchets. La merde que je produit reste de la merde. Je connais des gens tellement prudents de l’utilisation de ce mot qu’on finit par se demander si ils en font vraiment (de la merde). Mais le pire est que ces personnes se sont tellement habitué à ne pas parler des déchets qu’ils produisent (physiquement) qu’ils ne parlent pas non-plus des déchets qu’ils produisent « autrement », i.e. le péché et surtout leur propre péché. Ils finissent par se convaincre qu’ils ne sont pas ce que Dieu dit qu’ils sont… de répugnant pécheurs! « Come on »!! Spécialement, venant de chrétien, « c’est pas fort »!! Ceux-là qui ne font pas de péché, n’ont pas non plus besoin d’un sauveur!! Moi, je suis un pécheur, je fais de la merde… et j’ai besoin de quelqu’un qui me libère de ma couche!! 😉
2 Timothée 2.20-25
22 Fuis les passions de la jeunesse et recherche la justice, la foi, l’amour, la paix avec ceux qui font appel au Seigneur d’un cœur pur. 23 Repousse les spéculations folles et stupides, sachant qu’elles font naître des conflits.24 Or, il ne faut pas qu’un serviteur du Seigneur ait des conflits. Il doit au contraire être plein de bienveillance envers tous, capable d’enseigner et de supporter l’opposition. 25 Il doit corriger avec douceur les adversaires: peut-être Dieu leur donnera-t-il de changer d’attitude pour connaître la vérité. 26 Revenus à leur bon sens, ils se dégageront alors des pièges du diable, qui s’est emparé d’eux pour les soumettre à sa volonté.