Comprendre pour servir ce monde où je vis

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Paix ou dispute ?  Un choix contre l’amertume !  Hébreux 12.9-15

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Nos pères nous châtiaient pour ce qu’ils pensaient être bon, eux qui ont les mêmes faiblesses que nous.  Cependant, le Dieu Saint, nous châtie pour que nous puissions participer à sa sainteté.  WOW !  Même si le châtiment peut parfois paraitre difficile, je ne peux que me réjouir du résultat, et le laisser travailler dans ma vie, pour un fruit de justice, recherchant la paix avec tous et la sanctification.

Mais voici la difficulté !  Refuser le châtiment et ainsi me priver de la grâce de Dieu.  Nous lirons, dans les prochains jours, quelques-uns de ces obstacles que nous plaçons nous-mêmes sur le chemin de la sanctification.  Aujourd’hui, le premier obstacle à considérer est l’amertume. 

L’amertume n’est pas décrite avec beaucoup de détails, mais Jacques l’associe à un esprit de dispute, contrairement à la douceur qui apporte la paix. (Jacques 3.11-18) 

L’amertume pénètre jusqu’au cœur (Jérémie 4.18) et produit des racines qui, en poussant, vont éventuellement « tacher ou polluer l’âme des autres ». 

Une puissante illustration, spécialement durant cette période d’égoïsme, où nos désirs de grandir, de réussir, mieux que ceux qui nous ont précédés, nous font salir et polluer ce monde où nous vivons.  Veillons sur nos comportements, car nous n’avons pas plus de raisons de salir et polluer la création de Dieu que de salir et polluer les âmes.

Mais maintenant, cette pollution de l’âme grandira chez d’autres et produira du trouble (enochleó), Paul utilisant un mot qui peut être utilisé pour une personne qui encourage une foule à la rébellion, à l’agressivité.  Attention !  Je peux être cet agitateur de ceux qui m’entourent.

Seigneur, aide-moi à être une source de paix et non de dispute.

 

Hébreux 12.9-15

D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté. Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. Fortifiez donc vos mains languissantes Et vos genoux affaiblis; et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse. Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu; à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient infectés;

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