Il y deux sortent de racisme.
Le premier est actif et l’autre passif.
Le premier se fait entendre et porte des actions. Il fait le mal. Il peut être combattu car on l’entend, on le voit.
Le deuxième est silencieux et se manifeste par son inaction. Il retient le bien. Il est impossible de le combattre. Sournois et rusé, il se cache.
Mais doit-on parlé de racisme? Peut-on vraiment parler de race, avec le mélange social que nous vivons, spécialement depuis une cinquantaine d’année. Peut-on encore parler de racisme? Les scientifiques n’utilisent plus ce type de classification, désuet qui n’a plus de sens de nos jours. Peut-on parler de racisme lorsque ses actions, ou inactions, ne se tourne vers: la couleur, la nationalité, la langue, la culture, l’ethnie, la religion, l’âge, etc… se tourne finalement vers tout ce qui n’est pas « moi »! Même dans une même famille, on en vient à se séparer et considérer certains comme exclus.