Wow! Dieu donne la sagesse à Salomon tel qu’il n’y en a jamais eu avant et qu’il n’y en aura jamais après.
Mais avec cette sagesse viens un test. Il passe certainement le test de l’intelligence car nous avons dans ce passage la fameuse histoire de l’enfant à séparer en deux par l’épée! Une histoire très connue, qui bâtit la réputation de Salomon.
Mais plus tard, il aura un autre test, à la mesure du don qui lui a été donné! « les richesses et la gloire; de sorte qu’entre les rois il n’y en aura point de semblable à toi, pendant tous les jours de ta vie. » Nous verrons plus tard si Salomon passera le test.
Pour ma part, Dieu m’a donné, quelque chose. Entre autres, comme croyant il m’est fait un don spirituel. Quel est le test qui m’est aussi fait? WOW! De quoi penser pour la journée!
Pour des jeunes – Est-ce que je passerai?
Pour des vieux comme moi – Est-ce que j’ai passé le test ou l’ais-je « royalement » raté ?!
1 Roi 3.1-15
OR, Salomon s’allia avec Pharaon, roi d’Égypte; et il épousa la fille de Pharaon, qu’il amena dans la ville de David, jusqu’à ce qu’il eût achevé de bâtir sa maison et la maison de l’Éternel, ainsi que la muraille autour de Jérusalem. Le peuple sacrifiait seulement sur les hauts lieux, parce que jusqu’alors on n’avait pas bâti de maison au nom de l’Éternel. Et Salomon aimait l’Éternel et suivait les ordonnances de David, son père; seulement il offrait les sacrifices et le parfum sur les hauts lieux. Le roi s’en alla donc à Gabaon pour y sacrifier; car c’était le plus considérable des hauts lieux; et Salomon offrit mille holocaustes sur cet autel. A Gabaon, l’Éternel apparut en songe à Salomon, pendant la nuit, et Dieu lui dit: Demande ce que tu veux que je te donne. Et Salomon dit: Tu as usé d’une grande bienveillance envers ton serviteur David, mon père, selon qu’il a marché en ta présence dans la vérité, dans la justice et dans la droiture de son coeur devant toi; et tu lui as conservé cette grande bienveillance, et lui as donné un fils qui est assis sur son trône, comme il paraît aujourd’hui. Et maintenant, ô Éternel mon Dieu, tu as fait régner ton serviteur à la place de David, mon père; et moi je ne suis qu’un tout jeune homme; je ne sais pas me conduire. Et ton serviteur est au milieu du peuple que tu as choisi, ce grand peuple qui ne se peut dénombrer ni compter à cause de sa multitude. Donne donc à ton serviteur un coeur intelligent, pour juger ton peuple, et pour discerner entre le bien et le mal; car qui pourrait juger ton peuple, ce peuple si nombreux ? Or ce discours plut au Seigneur, en ce que Salomon lui avait fait cette demande. Et Dieu lui dit: Puisque tu m’as fait cette demande, et que tu n’as demandé ni une longue vie, ni des richesses, ni la mort de tes ennemis, mais que tu as demandé de l’intelligence pour rendre la justice: Voici, je fais selon ta parole. Je te donne un coeur sage et intelligent, de sorte qu’avant toi nul n’aura été pareil à toi, et qu’il n’y en aura point après toi qui te soit semblable. Et même, je te donne ce que tu n’as pas demandé, et les richesses et la gloire; de sorte qu’entre les rois il n’y en aura point de semblable à toi, pendant tous les jours de ta vie. Et si tu marches dans mes voies, gardant mes statuts et mes ordonnances, comme y a marché David, ton père, je prolongerai tes jours. Alors Salomon se réveilla, et voici, c’était un songe. Puis il vint à Jérusalem, et se tint devant l’arche de l’alliance de l’Éternel; et il offrit des holocaustes et des sacrifices de prospérités, et fit un festin à tous ses serviteurs. Alors deux femmes de mauvaise vie vinrent vers le roi, et se présentèrent devant lui. Et l’une de ces femmes dit: Ah ! mon seigneur ! nous demeurions, cette femme et moi, dans le même logis, et je suis accouchée près d’elle dans cette maison-là. Le troisième jour après mes couches, cette femme est aussi accouchée, et nous étions ensemble; personne d’autre n’était avec nous dans cette maison; il n’y avait que nous deux. Or le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu’elle s’était couchée sur lui. Et elle s’est levée au milieu de la nuit, et a pris mon fils que j’avais près de moi, pendant que ta servante dormait; et elle l’a couché dans son sein, et elle a couché son fils mort dans mon sein. Puis, le matin, je me suis levée pour allaiter mon fils, et voici, il était mort; mais je l’ai considéré avec attention le matin, et voici, ce n’était pas mon fils que j’avais enfanté. Et l’autre femme répliqua: Non, celui qui vit est mon fils, et celui qui est mort est ton fils. Mais celle-là dit: Non, celui qui est mort est ton fils, et celui qui vit est mon fils. C’est ainsi qu’elles parlaient devant le roi. Et le roi dit: L’une dit: C’est mon fils qui est vivant, et ton fils qui est mort; et l’autre dit: Non; mais c’est ton fils qui est mort, et celui qui vit est mon fils. Et le roi dit: Apportez-moi une épée ! Et on apporta une épée devant le roi. Puis le roi dit: Partagez en deux l’enfant qui vit, et donnez-en la moitié à l’une et la moitié à l’autre. Alors la femme dont le fils vivait, dit au roi (car ses entrailles furent émues au sujet de son fils): Ah ! mon seigneur ! donnez-lui l’enfant qui vit, et qu’on se garde bien de le faire mourir ! tandis que l’autre disait: Il ne sera ni à moi ni à toi; partagez-le ! Alors le roi répondit, et dit: Donnez à celle-là l’enfant qui vit, et gardez-vous de le faire mourir: c’est elle qui est la mère. Et tout Israël, ayant su le jugement que le roi avait prononcé, craignit le roi; car on vit qu’il y avait en lui une sagesse divine pour rendre la justice.