Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Un voile ou un miroir!

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Quel enseignement profond et simple!

La loi a été un ministère de condamnation et par conséquent de mort.  Il avait son sens et par conséquent une valeur, mais passagère.  Cette loi venait en effet démontrer notre coeur mauvais devant la Sainteté de Dieu.  Elle venait donc nous convaincre de notre besoin de salut, notre besoin d’un sauveur, notre besoin de Dieu.  La loi

L’Esprit, par contre, est un ministère de justice, dans le sens qu’il peut justifier l’homme et lui donner la vie.  Maintenant que notre coeur a été révélé par la loi, l’Esprit peur le purifier par la grâce.  Cette grâce est en Jésus, en son sacrifice pour accomplir la loi et apporter la justice.

Alors que la loi nous montrait le problème, l’Esprit nous montre la solution.

Alors que la loi avait une valeur temporaire, l’Esprit à une valeur éternelle.   Le premier est passé, le second est présent et pour toujours.

Alors que l’on désire cacher le ministère de la loi (notre condamnation), on désire révéler le ministère de l’Esprit (notre justification).

Alors que la loi nous révélait la gloire de Dieu, l’Esprit nous transforme en l’image glorieuse de Dieu.  En passant, ce passage nous explique clairement que nous ne sommes pas et ne seront pas des dieux, comme plusieurs le croient, mais nous sommes transformé à l’image de Dieu.

Donc en résumé, la loi a été un voile pour cacher la gloire de Dieu, mais l’Esprit est un miroir qui nous révèle la gloire de Dieu et va même jusqu’à nous transformer graduellement en cette image.  Wow!  Wow!!  Wow!!!

Comme l’a enseigné Moïse, on ne peut voir Dieu en face.  On peut donc caché sa gloire par une voile ou être changé par lui par un miroir.  Et nous voyons l’effet de toutes ces religions qui ne mettent l’emphase que sur la loi, le voile, la condamnation, la mort.  Veux-tu choisir une religion de mort ou un Esprit de vie.  Un voile ou un miroir?

2 Corinthiens 3:6-18

Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit; car la lettre tue, mais l’esprit vivifie. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux! Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l’a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. Ayant donc cette espérance, nous usons d’une grande liberté, et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d’Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaît. Jusqu’à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs coeurs; mais lorsque les coeurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. Or, le Seigneur c’est l’Esprit; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit.

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