Toute une promesse, pour ceux qui ont besoin d’être délivrés. Mais qui sont-ils ?
Celui que l’on méprise, l’esclave, celui qui est malheureux.
Mais, est-ce aussi pour ceux du Québec, de la France, et de tous ces pays riches qui ont toutes les richesses de ce monde. Personnellement que puis-je demander de plus que ce que j’ai déjà ? Je suis comblé ! Cependant, ce ne sont que des richesses extérieures, que nous avons dans nos pays « développés », mais nous restons les gens les plus tristes du monde. C’est dans ces pays là que se répandent dépression et suicide !
Non, nous avons tous faim, de la vérité et de la délivrance, la vraie, et aucune religion, aucun royaume ne nous l’offrent. Ne sont-ils pas comme ces mirages, nos religions, et comme ces soleils, nos puissances ? Nos religions pour nous faire croire qu’ils sont la vérité alors qu’ils ne sont que mensonge, comme le mirage. Nos puissances pour nous montrer leur puissance, au point de nous détruire avec celle-ci, comme le soleil.
Quand je vois les injustices de ce monde et la pauvreté de la majorité du monde sur laquelle nous fermons les yeux, cela me rend malheureux.
Moi, comme chaque âme qui souffre, je désire la simplicité d’un enfant… quand je crie pour la justice, quand je me sens méprisé, quand je regarde à mes faiblesses, mes péchés, je me sens esclave.
Donc, ce passage est, OUI, pour moi ce matin !
« Je t’exaucerai, je te secourerai, je te garderai et je t’établirai … pour annoncer le salut, pour dire aux captifs : Sortez ! À ceux qui sont dans les ténèbres : Paraissez ! … Plus de faim, plus de soif … , le mirage et le soleil ne les feront pas souffrir, car il les conduira vers les sources d’eaux. Montagnes seront changées en chemin. Éclatez de joie ! Il console son peuple et a pitié des malheureux. »
Wow ! Ça fait du bien ! Merci mon Dieu.
Ésaïe 49.1-13
Iles, écoutez-moi ! Peuples lointains, soyez attentifs ! L’Éternel m’a appelé dès ma naissance, Il m’a nommé dès ma sortie des entrailles maternelles. Il a rendu ma bouche semblable à un glaive tranchant, Il m’a couvert de l’ombre de sa main ; Il a fait de moi une flèche aiguë, Il m’a caché dans son carquois. Et il m’a dit : Tu es mon serviteur, Israël en qui je me glorifierai. Et moi j’ai dit : C’est en vain que j’ai travaillé, C’est pour le vide et le néant que j’ai consumé ma force ; Mais mon droit est auprès de l’Éternel, Et ma récompense auprès de mon Dieu. Maintenant, l’Éternel parle, Lui qui m’a formé dès ma naissance Pour être son serviteur, Pour ramener à lui Jacob, Et Israël encore dispersé ; Car je suis honoré aux yeux de l’Éternel, Et mon Dieu est ma force. Il dit : C’est peu que tu sois mon serviteur Pour relever les tribus de Jacob Et pour ramener les restes d’Israël : Je t’établis pour être la lumière des nations, Pour porter mon salut jusqu’aux extrémités de la terre. Ainsi parle l’Éternel, le rédempteur, le Saint d’Israël, A celui qu’on méprise, qui est en horreur au peuple, A l’esclave des puissants : Des rois le verront, et ils se lèveront, Des princes, et ils se prosterneront, A cause de l’Éternel, qui est fidèle, Du Saint d’Israël, qui t’a choisi. Ainsi parle l’Éternel : Au temps de la grâce je t’exaucerai, Et au jour du salut je te secourrai ; Je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, Pour relever le pays, Et pour distribuer les héritages désolés ; Pour dire aux captifs : Sortez ! Et à ceux qui sont dans les ténèbres : Paraissez ! Ils paîtront sur les chemins, Et ils trouveront des pâturages sur tous les coteaux. Ils n’auront pas faim et ils n’auront pas soif ; Le mirage et le soleil ne les feront point souffrir ; Car celui qui a pitié d’eux sera leur guide, Et il les conduira vers des sources d’eaux. Je changerai toutes mes montagnes en chemins, Et mes routes seront frayées. Les voici, ils viennent de loin, Les uns du septentrion et de l’occident, Les autres du pays de Sinim. Cieux, réjouissez-vous ! Terre, sois dans l’allégresse ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car l’Éternel console son peuple, Il a pitié de ses malheureux.