Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi !  Lévitique 1

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Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi !  Lévitique 1

Un sacrifice est un sacrifice !  Cela coûte quelque chose !  Certains le voient comme de la barbarie.  Mettre sa main sur la tête de l’animal pendant qu’il est tué !  Couper soi-même les morceaux, les laver pour les brûler sur l’autel.  Ce n’est pas une partie de plaisir et cela fait partie du sens de cet holocauste.  Il devient un vrai sacrifice pour moi, car difficile, et normalement devrait me faire penser au fait que cette mort, ce sacrifice, ce paiement a été nécessaire par ma faute.

Lorsque je ne suis plus touché par le sacrifice, lorsque je ne réalise plus le poids de mon péché, et le fait qu’un autre a dû payer pour moi … ou en est rendu mon cœur ?  

Beaucoup de juifs étaient à ce point de dureté du cœur.  Qu’en est-il de mon cœur, lorsqu’il fait face à mon péché, ma faute, mes faiblesses, mes sacrifices ?  Quand je ne réalise plus la laideur de la mort et qu’elle est devenue banale… reste-t-il de l’espoir pour moi ?

Lorsqu’un holocauste est banalisé… l’espoir est perdu !  Lorsque le sacrifice d’un autre ne me touche plus, même celui d’un animal… le prix de ce sacrifice a perdu sa valeur pour moi, et mon âme est à son point le plus sombre, car c’est là que la lumière ne peut plus y pénétrer.

Que mon cœur ne soit jamais fermé à la lumière du sacrifice qui brûle devant moi.


(Nous ne lirons ici, que les premiers éléments cet ensemble de sacrifices, qui sont énumérés jusqu’au chapitre 5, mais je vous encourage à lire tous ceux-ci pour comprendre le poids réel des sacrifices.)

Lévitique 1

L’Éternel appela Moïse; de la tente d’assignation, il lui parla et dit: Parle aux enfants d’Israël, et dis-leur: Lorsque quelqu’un d’entre vous fera une offrande à l’Éternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail. Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l’offrira à l’entrée de la tente d’assignation, devant l’Éternel, pour obtenir sa faveur. Il posera sa main sur la tête de l’holocauste, qui sera agréé de l’Éternel, pour lui servir d’expiation. Il égorgera le veau devant l’Éternel; et les sacrificateurs, fils d’Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l’autel qui est à l’entrée de la tente d’assignation. Il dépouillera l’holocauste, et le coupera par morceaux. Les fils du sacrificateur Aaron mettront du feu sur l’autel, et arrangeront du bois sur le feu. Les sacrificateurs, fils d’Aaron, poseront les morceaux, la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l’autel. Il lavera avec de l’eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur brûlera le tout sur l’autel. C’est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d’une agréable odeur à l’Éternel. Si son offrande est un holocauste de menu bétail, d’agneaux ou de chèvres, il offrira un mâle sans défaut. Il l’égorgera au côté septentrional de l’autel, devant l’Éternel; et les sacrificateurs, fils d’Aaron, en répandront le sang sur l’autel tout autour. Il le coupera par morceaux; et le sacrificateur les posera, avec la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l’autel. Il lavera avec de l’eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l’autel. C’est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d’une agréable odeur à l’Éternel. Si son offrande à l’Éternel est un holocauste d’oiseaux, il offrira des tourterelles ou de jeunes pigeons. Le sacrificateur sacrifiera l’oiseau sur l’autel; il lui ouvrira la tête avec l’ongle, et la brûlera sur l’autel, et il exprimera le sang contre un côté de l’autel. Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le jettera près de l’autel, vers l’orient, dans le lieu où l’on met les cendres. Il déchirera les ailes, sans les détacher; et le sacrificateur brûlera l’oiseau sur l’autel, sur le bois mis au feu. C’est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d’une agréable odeur à l’Éternel.

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