Ananias et Saphira sont des exemples frappant de la sainteté de l’église et du fait qu’elle ne doit par être prise à la légère. Cette histoire est dramatique, mais tu peux sûrement te souvenir d’action ou de parole de personne, qui se disait croyant, mais qui ne reflétaient pas qui nous représentons comme chrétien, i.e. Jésus Christ. Ou d’autres moments ou une personne faisait quelque chose pour donner l’impression qu’il servait Dieu alors que ce n’était que du mensonge, une image de bonne action. Heureusement pour nous Dieu ne prend pas souvent la méthode de jugement de Ananias et Saphira, mais il a quand même promis que tout péché serait puni. C’est entre moi et Dieu de savoir si je suis honnête (vs. 3).
Y a-t-il des domaines de ma vie ou j’essaie de montrer que je fais les bons choix, alors qu’au dedans de toi, je sais que c’est faux. Est-ce que j’ai besoin de confesser, à d’autres ou/et à Dieu, que quelque chose dans ma vie ou dans mon cœur ne vas pas ? Est-ce ce que je vie dans le mensonge concernant un domaine de ma vie ?
Attention! On peut leurrer beaucoup de monde mais on ne peut leurrer Dieu!
Il ne me demande pas d’être parfait, ou même d’essayer car Il sait que je ne le pourrai pas. Il me demande seulement d’être honnête sur moi-même. C’est ça la simple humilité qu’Il recherche.
Actes 5:1-11
Mais un homme nommé Ananias, avec Saphira sa femme, vendit une propriété, et retint une partie du prix, sa femme le sachant; puis il apporta le reste, et le déposa aux pieds des apôtres. Pierre lui dit: Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton coeur, au point que tu mentes au Saint-Esprit, et que tu aies retenu une partie du prix du champ? S’il n’eût pas été vendu, ne te restait-il pas? Et, après qu’il a été vendu, le prix n’était-il pas à ta disposition? Comment as-tu pu mettre en ton coeur un pareil dessein? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu. Ananias, entendant ces paroles, tomba, et expira. Une grande crainte saisit tous les auditeurs. Les jeunes gens, s’étant levés, l’enveloppèrent, l’emportèrent, et l’ensevelirent. Environ trois heures plus tard, sa femme entra, sans savoir ce qui était arrivé. Pierre lui adressa la parole: Dis-moi, est-ce à un tel prix que vous avez vendu le champ? Oui, répondit-elle, c’est à ce prix-là. Alors Pierre lui dit: Comment vous êtes-vous accordés pour tenter l’Esprit du Seigneur? Voici, ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t’emporteront. Au même instant, elle tomba aux pieds de l’apôtre, et expira. Les jeunes gens, étant entrés, la trouvèrent morte; ils l’emportèrent, et l’ensevelirent auprès de son mari. Une grande crainte s’empara de toute l’assemblée et de tous ceux qui apprirent ces choses.