Il ne peut pas y a avoir de plus belle fin pour ce livre. Une prophétie de l’œuvre de Dieu à venir pour le salut de l’homme.
L’homme mérite cette punition, cette plaie, mais Dieu décide d’arrêter la main de l’ange qui accomplissait la punition du peuple, il est près de l’aire d’Aravna. Ceci est la terre des Jébusiens que David a achetés pour élever un autel à l’Éternel. C’est cette terre qui deviendra Jérusalem. Donc, beaucoup de signification et de sens à l’arrêt de l’ange en arrivant à l’endroit de la future Jérusalem, et la ville même où sera sacrifié le sauveur du monde, Jésus.
David ne comprend pas l’importance de cet endroit et de l’œuvre qui s’y fera par Dieu pour le salut de l’homme. Il y a un bon début, lorsque David reconnait son péché « Voici, j’ai péché ! C’est moi qui suis coupable ; » mais une difficulté à comprendre, comme chacun d’entre nous, que mon péché aura des conséquences sur les autres, et que je ne pourrais m’en sortir moi-même.
Bien sûr que le désir de David de payer pour ce champ nous touche, car nous ressentons son désir de participer, mais n’est-ce pas aussi une image du désir de l’homme de participer à son salut. Nous voyons un David qui veut se sacrifier – « Voici, j’ai péché ! C’est moi qui suis coupable ; mais ces brebis, qu’ont-elles fait ? Que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père ! » et de payer lui-même pour son péché – « Non! Je veux l’acheter de toi à prix d’argent, et je n’offrirai point à l’Éternel, mon Dieu, des holocaustes qui ne me coûtent rien. ».
C’est Dieu lui-même arrêtera sa main, et le sacrifice fait ici, est prophétique du seul sacrifice acceptable pour Dieu, en Jésus, sur cette même montagne, et qui seul pourra apaiser la justice et la colère de Dieu envers l’homme, envers moi.
David à raison, d’une certaine façon en mentionnant qu’un sacrifice ne peut être gratuit, mais ne semble pas comprendre qu’il ne peut payer lui-même avec la richesse que Dieu lui a donnée. Cette pensée est futile. Je dois me rappeler que, je suis coupable, ne suis impuissant à me sauver, je n’ai rien de valeur qui puisse payer ma dette, mais que Jésus l’a fait pour moi. Merci on Dieu pour ta bonté de retenir la main de ta vengeance jusqu’à ce que le sacrifice ultime ait été fait pour moi.
David a pu refuser le cadeau de Aravna pour payer lui-même, mais personne ne peut payer, autrement que par sa vie, pour le péché. Personne ne peut garder la vie s’il n’accepte pas le cadeau de la vie de Jésus, qui est irremplaçable. C’est ton choix maintenant… accepter ou refuser le cadeau de la vie éternelle. C’est peut-être la dernière fois qu’il t’est offert ! Je ne veux pas paraitre dramatique, mais ne présume pas de la durée de ta vie. Trop de personnes ont fait cela et ont été fort déçues !
Et ce cadeau c’est Dieu qui te l’offre, pas moi. Je ne fais que pointer à l’offre. Accepte et tu as la vie ! Refuse, et tu te lamenteras plus tard lorsque la justice de Dieu finira sa tâche ! Ton choix.
2 Samuel 24.16-25
Comme l’ange étendait la main sur Jérusalem pour la détruire, l’Éternel se repentit de ce mal, et il dit à l’ange qui faisait périr le peuple: Assez! Retire maintenant ta main. L’ange de l’Éternel était près de l’aire d’Aravna, le Jébusien. David, voyant l’ange qui frappait parmi le peuple, dit à l’Éternel: Voici, j’ai péché! C’est moi qui suis coupable; mais ces brebis, qu’ont-elles fait? Que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père! Ce jour-là, Gad vint auprès de David, et lui dit: Monte, élève un autel à l’Éternel dans l’aire d’Aravna, le Jébusien. David monta, selon la parole de Gad, comme l’Éternel l’avait ordonné. Aravna regarda, et il vit le roi et ses serviteurs qui se dirigeaient vers lui; et Aravna sortit, et se prosterna devant le roi, le visage contre terre. Aravna dit: Pourquoi mon seigneur le roi vient-il vers son serviteur? Et David répondit: Pour acheter de toi l’aire et pour y bâtir un autel à l’Éternel, afin que la plaie se retire de dessus le peuple. Aravna dit à David: Que mon seigneur le roi prenne l’aire, et qu’il y offre les sacrifices qu’il lui plaira; vois, les boeufs seront pour l’holocauste, et les chars avec l’attelage serviront de bois. Aravna donna le tout au roi. Et Aravna dit au roi: Que l’Éternel, ton Dieu, te soit favorable! Mais le roi dit à Aravna: Non! Je veux l’acheter de toi à prix d’argent, et je n’offrirai point à l’Éternel, mon Dieu, des holocaustes qui ne me coûtent rien. Et David acheta l’aire et les boeufs pour cinquante sicles d’argent. David bâtit là un autel à l’Éternel, et il offrit des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Alors l’Éternel fut apaisé envers le pays, et la plaie se retira d’Israël.