Comprendre pour servir ce monde où je vis

Comprendre pour servir ce monde où je vis

Un jour à la fois!  Nombres 22.1-14

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Et voilà pour ceux qui pensent que Dieu est exclusif, à leur peuple, leur religion, leur famille, leur personne !

Dieu parle à Balaam et lui fait connaitre Sa volonté.  Est-ce que Balaam va gaffer ?  Bien sûr, comme le peuple d’Israël et toi et moi, mais ça c’est un autre sujet.  Donc, rechercher la volonté de Dieu, l’écouter, et Lui obéir ici maintenant est le désir de Balaam, et doit être mon désir.  Le passé, l’avenir ne doit pas être ma préoccupation maintenant, mais plutôt ce que je fais maintenant, ce que je dois faire aujourd’hui.

Dans les prochains jours, nous lirons ce que nous ne devons pas faire, mais ce sera pour un autre jour.

Un groupe qui s’appelle les AA (pour Alcooliques Anonymes) a ce principe:  « un jour à la fois ».  Les origines et les principes de ce groupe viennent de mouvements chrétiens.  Et peut-être que même si je ne suis pas alcoolique, c’est moi qui devrais apprendre des AA et retourner au principe de: « un jour à la fois ». 

Car Dieu me demande seulement de travailler sur le… maintenant, aujourd’hui.  Mon passé d’échec ?  Il a payé pour cela.  Mon avenir incertain ?  Il est entre Ses mains.

Un peu comme ces « calendriers de l’avent », que je n’ouvre qu’une journée à la fois, et Dieu aussi a une surprise pour moi chaque jour.  Et la journée a bien commencé par la lecture de ce texte.  Il ne me reste plus qu’à obéir !  Un combat de chaque jour, chaque instant.

 

Nombres 22.1-14

Les enfants d’Israël partirent, et ils campèrent dans les plaines de Moab, au delà du Jourdain, vis-à-vis de Jéricho. Balak, fils de Tsippor, vit tout ce qu’Israël avait fait aux Amoréens. Et Moab fut très effrayé en face d’un peuple aussi nombreux, il fut saisi de terreur en face des enfants d’Israël. Moab dit aux anciens de Madian: Cette multitude va dévorer tout ce qui nous entoure, comme le boeuf broute la verdure des champs. Balak, fils de Tsippor, était alors roi de Moab. Il envoya des messagers auprès de Balaam, fils de Beor, à Pethor sur le fleuve, dans le pays des fils de son peuple, afin de l’appeler et de lui dire: Voici, un peuple est sorti d’Égypte, il couvre la surface de la terre, et il habite vis-à-vis de moi. Viens, je te prie, maudis-moi ce peuple, car il est plus puissant que moi; peut-être ainsi pourrai-je le battre et le chasserai-je du pays, car je sais que celui que tu bénis est béni, et que celui que tu maudis est maudit. Les anciens de Moab et les anciens de Madian partirent, ayant avec eux des présents pour le devin. Ils arrivèrent auprès de Balaam, et lui rapportèrent les paroles de Balak. Balaam leur dit: Passez ici la nuit, et je vous donnerai réponse, d’après ce que l’Éternel me dira. Et les chefs de Moab restèrent chez Balaam. Dieu vint à Balaam, et dit: Qui sont ces hommes que tu as chez toi? Balaam répondit à Dieu: Balak, fils de Tsippor, roi de Moab, les a envoyés pour me dire: Voici, un peuple est sorti d’Égypte, et il couvre la surface de la terre; viens donc, maudis-le; peut-être ainsi pourrai-je le combattre, et le chasserai-je. Dieu dit à Balaam: Tu n’iras point avec eux; tu ne maudiras point ce peuple, car il est béni. Balaam se leva le matin, et il dit aux chefs de Balak: Allez dans votre pays, car l’Éternel refuse de me laisser aller avec vous. Et les princes de Moab se levèrent, retournèrent auprès de Balak, et dirent: Balaam a refusé de venir avec nous.

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